Bonne nouvelle pour toutes celles qui en ont assez de voir s’entasser dans leur salle de bain des soins contour des yeux, des correcteurs, des crèmes anti-imperfections, des produits éclats, etc.., la nouvelle Day Cream signée Matignon by Dr Delarive est capable de s’adapter à tous les cas de figure.
Oubliez les longues routines de soins complexes. « Day Cream » est conçue pour répondre à tous les besoins de votre peau en un seul produit. Avec sa texture légère et non grasse, cette crème s’absorbe rapidement, laissant une peau fraîche, hydratée et lumineuse. Sa formule unique, alliant densification, correction et lissage, s’adresse particulièrement aux femmes à partir de 30 ans, à la recherche d’un soin anti-âge complet et sans prise de tête. Fini les produits en couches superposées, « Day Cream » se suffit à elle-même.
La formule de « Day Cream » est un véritable cocktail d’actifs puissants. Parmi eux, le rétinol de 4e génération (Hydroxypinacolone Retinoate), aussi efficace que les versions classiques mais beaucoup moins irritant, qui lisse les ridules, estompe les rides, et booste la production de collagène pour une peau plus ferme et élastique. À cela s’ajoutent les vitamines C et E, des antioxydants protecteurs, ainsi que le poivre des moines, un ingrédient innovant qui redonne fermeté et volume à la peau. Le petit plus? Le complexe de phyto-hormones qui imite l’action des hormones féminines pour revitaliser les cellules de la peau, offrant un éclat naturel et une densité retrouvée. Une combinaison d’ingrédients hautement performants pour un résultat éclatant dès le matin.
Conçue pour les femmes à partir de 30 ans, la « Day Cream » s’adresse particulièrement à celles
qui recherchent une solution simple mais complète pour leur peau. Sa texture légère et non
grasse s’absorbe rapidement, offrant un confort optimal pour tous les types de peau. Avec
cette crème, plus besoin de jongler avec plusieurs produits : un seul geste suffit pour une
peau radieuse et visiblement plus jeune.
Proposée à un prix de CHF 95.-, la « Day Cream » combine une qualité exceptionnelle avec un
rapport qualité-prix imbattable. Elle est disponible en ligne sur matignonbydrdelarive.ch et
dans les capsules Matignon chez Manor, ainsi que dans les 11 cliniques Matignon en Suisse
romande.
Derrière cette innovation se cache la dermatologue renommée, Dr Patricia Delarive,
fondatrice du groupe Matignon, leader en médecine esthétique en Suisse. Forte de plus de
30 ans d’expérience, elle a mis tout son savoir-faire dans la création de la gamme Matignon
by Dr Delarive. Chaque produit repose sur une approche scientifique rigoureuse, fondée sur
la médecine basée sur les preuves. Ici, l’accent est mis sur la qualité des actifs et la durabilité
des résultats, même après des traitements esthétiques. L’engagement est clair: simplifier la
vie des femmes grâce à des produits tout-en-un efficaces et pratiques.
Matignonbydrdelarive.ch
Dimanche, à l’issue de la première semaine de la Fashion Week parisienne, la célèbre marque saint-galloise est revenue aux sources de la création, soit répondre à des besoins fondamentaux. Pour la femme moderne, toujours en mouvement, prime la fonctionnalité de son vêtement. Son été 2025 en sera rempli, avec grâce – surtout élégance, tel le fil conducteur qui tisse depuis 1922 l’ADN d’Akris.
« La grâce n’est pas quelque chose de superficiel, elle vient de l’intérieur ». Voilà ce qu’Albert Kriemler explique avoir ressenti lorsqu’il a dernièrement fait face à la Camera degli Sposi (1465-1474) d’Andrea Mantegna, cette œuvre révolutionnaire incarnant, comme rarement, l’esprit de la Première Renaissance. Un mélange de maîtrise technique et de douceur, d’humanité et de transcendance où la lumière danse sur les figures, leur conférant alors une corporalité presque tangible, comme si elles pouvaient passer avec délicatesse le seuil de la fresque. « En pensant à son travail, on ne pense pas à la beauté, mais à la grâce », surenchérit le directeur artistique d’Akris. Il s’en est ainsi inspiré pour penser sa nouvelle collection Printemps-été 2025.
Dimanche 29 septembre, à Paris, les 58 looks de l’une des plus anciennes maisons de mode helvétique ont raconté avec douceur, pudeur, la puissance de l’artisanat. Au cœur du prestigieux Collège des Bernardins, le public a été le témoin privilégié d’une quête saisissante de l’harmonie, où chaque travail de la matière – de la soie, à l’organza de panama jusqu’à la maille fine en coton gaufré (tissu de prédilection dans ce nouveau vestiaire estival) et de la couleur – du pastel à la transparence, dans toute leur palette – se sont mués en un hommage à la grâce. La plus exquise, la plus discrète, née d’un équilibre fragile entre le talent des mains et celui de l’esprit.
Loin de l’ostentation donc, la collection Printemps-été 2025 d’Akris a embrassé le pragmatisme de ces femmes de pouvoir toujours en mouvement. Place donc à des robes longues et fluides ancrées dans des trenchs et des parkas pour une sensation de protection en plein air. Enduite de résine, résistantes à l’eau, dans des tissus légers, l’aisance sportive s’est exprimée dans sa plus élégante acception.
Aucun doute. Akris a magnifié l’essence de la féminité contemporaine en mêlant douceur et fonctionnalité. Une alliance harmonieuse qui a conféré à ses pièces une intemporalité unique. Non, cette collection ne vise pas « la trend ». Elle la transcende. Car il est ici question de célébrer la force discrète mais indéniable de la grâce. Cette sorte de lumière qui irradie d’honnêteté. On ne pouvait pas rêver mieux pour l’été.
Public Eye et des ONG partenaires ont remis une pétition à l’entreprise suisse. Cette dernière demande l’arrêt de l’ajout de sucre dans ses produits pour bébés vendus dans les pays à faible revenu, a rapporté mardi RTS Info.
Mardi 1er octobre, à Vevey, l’ONG Public Eye, accompagnée d’IBFAN et EKO, a symboliquement renvoyé à Nestlé l’équivalent de 10 millions de carrés de sucre. Cela représenterait la quantité de sucre ajoutée quotidiennement dans les produits pour bébés Cerelac vendus dans les pays à faible revenu. Ce geste fort a été suivi de la remise d’une pétition signée par 105’000 personnes, réclamant l’arrêt immédiat de ces pratiques. En Suisse pourtant, comme le rappelle RTS info, ces mêmes produits pour bébés sont vendus sans sucre ajouté. Pour les ONG, cette disparité met en danger la santé des enfants dans les régions les plus défavorisées.
Toujours d’après nos confrères, Nestlé conteste toute pratique de double standard. L’entreprise suisse affirme avoir réduit le sucre dans ses laits infantiles, précisant que 90 % de ses produits n’en contiennent plus. L’entreprise met également en avant l’importance d’éduquer les consommateurs pour favoriser l’acceptation de ces nouvelles recettes. Mais Public Eye reste critique. D’après l’association, 96 % des céréales pour nourrissons vendues dans les pays en développement par Nestlé contiennent encore du sucre ajouté, malgré les recommandations de l’OMS.
L’annonce a été faite mercredi: Michael Rider prend les rênes de la maison de luxe française. Mais qui est cet homme méconnu du grand public? Et que va-t-il bien faire de Celine? Décryptage en quatre questions.
Mercredi 2 octobre, deux heures à peine après avoir annoncé se séparer de Hedi Slimane, Celine a officialisé la nomination de Michael Rider en tant que nouveau directeur artistique de la prestigieuse marque. Si son nom est méconnu du grand public, le créateur américain possède un solide bagage dans l’industrie du luxe. Selon L’Officiel, Michael Rider est diplômé de l’Université Brown. Il a débuté sa carrière aux côtés de Nicolas Ghesquière chez Balenciaga (2004-2008), avant de rejoindre Phoebe Philo chez Céline de 2008 à 2018. Il dirigeait dernièrement la création chez Polo Ralph Lauren avant de quitter ses fonctions en mai 2023.
Le choix de Michael Rider intervient dans un contexte où la mode connaît un véritable jeu de chaises musicales à la tête des plus grandes maisons. Et chez Celine, la succession d’Hedi Slimane, directeur artistique iconique, est un défi de taille: le Français de 56 ans a marqué cetre dernière de son esthétique – audacieuse pour beaucoup, décriée pour d’autres, qui l’accusaient d’avoir « vampirisé » l’image de la prestigieuse griffe. Lui a notamment été reproché de mettre en avant une esthétique davantage grunge chic au détriment de l’élégance traditionnelle associée à la maison.
Reste que son influence, qui a particulièrement attiré la jeune génération, a permis à Celine de valoir à nouveau plusieurs milliards d’euros, note Le Figaro. Son départ laisse place à la question de savoir si son successeur adoptera une approche similaire ou choisira une voie différente.
La principale interrogation est donc claire: Michael Rider s’alignera-t-il sur l’esthétique rock et minimaliste instaurée par Hedi Slimane durant près de sept années ou est-ce qu’il décidera d’insuffler une nouvelle direction à la maison, voire un retour aux racines de celle-ci? Pour l’instant, son style demeure un mystère. Son passage chez Phoebe Philo pourrait toutefois laisser présager un retour à une mode plus féminine et sophistiquée, en rupture donc avec l’héritage de son prédécesseur.
Michael Rider prendra officiellement ses fonctions « début 2025 », a agendé Celine dans son communiqué de presse. Tous les regards seront ainsi tournés vers le nouveau venu lors des prochaines Fashion Weeks. Parmi ses priorités, inciter un retour de Celine sur les podiums physiques de la Fashion Week parisienne pourrait en faire partie. La maison française avait en effet opté dès 2023 pour des formats vidéo.
Autre priorité potentielle: la question de savoir si Celine va retrouver son accent aigu. En 2018, la marque fondée en 1945 avait abandonné l’aigu de la première lettre « E » de son nom, en miroir d’une nouvelle vision artistique portée par Hedi Slimane. Ce choix, visant à ancrer la marque dans une esthétique contemporaine, qui s’éloignerait ainsi de celle de Phoebe Philo, avait néanmoins suscité des réactions mitigées, certains déplorant une dilution de l’héritage de la fondatrice Céline Vipiana.
Le compte à rebours est par conséquent lancé pour Michael Rider, qui se prépare à assumer un nouveau poste, accompagné de défis multiples sous le regard attentif du monde entier. Dans cinq mois, les premières réponses aux interrogations soulevées dans cet article pourraient émerger. Affaire à suivre.
Nichée au cœur des collines toscanes, entre vignobles et paysages, se trouve un trésor: le domaine de Castelfalfi. Ce site enchanteur véritable hymne à la beauté naturel de la région, promet un inoubliable moment de partage, où chaque petit détail a été pensé pour savourer un moment d’exception.
L’accueil est d’une gentillesse rare! Toujours à l’écoute du moindre désir, le personnel se montre chaleureux, et leur sourire, bien que parfois contraint, est authentique. Ils s’efforcent de rendre la réception la plus agréable possible, faisant ressentir aux invités le bonheur de séjourner dans cette propriété de rêve, comme des hôtes d’honneur.
La propriété de Castelfalfi constitue un véritable havre de paix où la nature omniprésente s’éveille. Les terrasses et balcons permettent d’admirer une vue panoramique sur les collines environnantes, une vision époustouflante. À chaque lever et coucher de soleil, le paysage se pare de nuances dorées et rosées, créant des instants dignes d’une toile de maître.
Les chambres, décorées avec élégance, allient le charme rustique de la région au confort moderne. Lits douillets, salles de bains luxueuses et petites attentions comme des produits de toilette haut de gamme offrent à chaque séjour un moment de pur plaisir.
Pour les passionnés de golf, le domaine propose un parcours exceptionnel, l’un des plus beaux d’Italie. Les fairways impeccables serpentent à travers les collines, proposant des défis stimulants et des vues magnifiques à chaque trou. Après une partie, le spa, véritable sanctuaire de bien-être, invite à la détente avec des soins inspirés des traditions locales. Les piscines extérieures permettent quant à elles de se rafraîchir tout en profitant du soleil toscan.
La gastronomie est un autre atout de Castelfalfi. Avec plusieurs restaurants offrant une cuisine variée, chaque repas est une véritable fête pour les papilles. Pizza cuite au four à bois, pâtes fraîches ou plats mijotés, chaque bouchée est un bonheur. Les vins produits sur place, aux arômes savoureux, se marient parfaitement aux spécialités locales, et les dégustations sont incontournables pour découvrir les saveurs des crus toscans.
Pour ceux en quête d’une journée spéciale, la plage privée Alpemare, située à quelques kilomètres du domaine, offre un cadre idyllique pour se détendre. Le sable fin, les eaux cristallines et les installations haut de gamme en font un lieu privilégié pour se prélasser ou s’adonner à des activités nautiques.
Les familles ne sont pas oubliées, grâce au Kids Club de Castelfalfi. Véritable paradis pour les enfants, il propose une multitude d’activités ludiques et éducatives, encadrées par un personnel qualifié et attentionné. Pendant que les parents profitent d’un moment de détente bien mérité, les plus jeunes découvrent la richesse de la culture toscane à travers des jeux et des ateliers créatifs.
Le domaine de Castelfalfi est une parenthèse enchantée et raffinée où chaque instant dévoile sa part de magie. Que l’on recherche des activités sportives, des repas exquis ou des vacances en famille, cette retraite toscane tient toutes ses promesses, offrant une expérience à revivre sans modération.
La célèbre maison de luxe a inauguré un café à Londres. En collaboration avec le chef étoilé français, cette nouvelle adresse s’inscrit dans la stratégie d’hospitalité de la marque, visant à offrir une expérience inédite aux voyageurs de passage.
Louis Vuitton, habitué à repousser les frontières du luxe, se prépare à ouvrir sa première table au Royaume-Uni. Situé dans l’un des hubs aériens les plus fréquentés au monde, le café s’implantera au sein du terminal 2 de l’aéroport d’Heathrow, à l’ouest de Londres. Selon Le journal du luxe, qui a relayé l’information jeudi 3 octobre, le projet, à mi-chemin entre gastronomie et retail, reflète la volonté de la marque de captiver une clientèle internationale en transit.
Pour cette nouvelle aventure culinaire, la maison a choisi de collaborer avec Cyril Lignac, l’un des chefs français les plus en vue dans le domaine. Fort de son succès à Paris et à Londres, notamment avec son Bar des Prés dans le quartier chic de Mayfair, le chef étoilé proposera un menu mêlant classiques français et inspirations internationales, le tout dans un cadre élégant, attenant à une boutique Louis Vuitton imaginée par l’architecte Marc Fornes.
Pensé pour satisfaire les papilles des voyageurs à toute heure de la journée, le café proposera des plats simples mais raffinés: croque-monsieur, salade de crabe au curry, lobster roll et une sélection de pâtisseries aux motifs iconiques de Louis Vuitton. L’expérience se veut à la fois gustative et visuelle, pour transformer chaque pause en un moment d’exception.
Cette ouverture à Londres s’inscrit dans la stratégie plus large de Louis Vuitton qui, depuis plusieurs années, investit le secteur de la restauration de luxe. Avec des établissements déjà présents à Tokyo, Paris et Saint-Tropez, la marque continue d’étendre son influence dans les lieux stratégiques du globe, toujours en quête d’innovations qui mêlent luxe, art de vivre et gastronomie.
Cette incursion de Louis Vuitton dans la gastronomie illustre une tendance croissante dans les maisons de luxe. Dior, par exemple, avait lancé en 2022 son café éponyme à Paris, juste au-dessus de son flagship sur l’Avenue Montaigne et pilotée par le chef Jean Imbert. De son côté, Gucci avait marqué les esprits en inaugurant son Gucci Osteria à Florence quatre ans plus tôt, en collaboration avec le célèbre chef trois étoiles Massimo Bottura. Ces enseignes, connues pour leurs créations de vêtement iconiques, cherchent désormais à enrichir leur univers en offrant bien plus que des produits: elles créent des espaces où mode, art et gastronomie fusionnent pour répondre à une clientèle en quête d’expériences exclusives. L’ouverture du café Louis Vuitton à Londres s’inscrit parfaitement dans cette logique, où le luxe se réinvente au contact de la haute cuisine Le but manifeste: transformer chaque passage en une immersion multisensorielle.
Mercredi, le directeur artistique de l’emblématique maison française a officiellement quitté ses fonctions après sept années marquées par des collections audacieuses. Les spéculations vont déjà bon train sur sa prochaine destination, alors qu’il est remplacé chez Celine dans la foulée.
C’est une annonce fracassante au lendemain de la Fashion Week de Paris. Mercredi 2 octobre, Hedi Slimane a quitté la maison Celine. L’homme de 56 ans était directeur artistique de la maison française depuis 2018. L’annonce a été faite à travers un communiqué de presse de la marque relayé par BFM TV:
La vision holistique d’Hedi Slimane, son exigence et sa rigueur, ont permis de redessiner les codes de Celine tout en réaffirmant son ancrage féminin et parisien […] Le chemin parcouru ensemble ces sept dernières années fait de Celine une maison aux formidables fondations pour l’avenir »
Selon Vogue Business, c’est Michael Rider qui le succèdera en tant que nouveau directeur créatif de Celine, a annoncé la maison de mode, quelques heures après le départ d’Hedi Slimane. Toujours d’après le magazine de mode économique, son poste prendra effet début 2025. Michael Rider était précédemment directeur artistique chez Polo Ralph Lauren depuis 2018, avant de quitter la maison britannique en mai dernier. A noter que Celine ne lui est pas si inconnu: l’homme y avait précédemment été directeur de la création dix ans durant sous le mandat de l’illustre Phoebe Philo.
L’annonce intervient dans un mercato sans précédent au sein de l’univers de la mode haut de gamme, laissant Chanel sur le bas côté depuis juin 2024. La prestigieuse marque française est sans directeur artistique suite au départ soudain de Virginie Viard. Les rumeurs depuis lors évoquent des noms comme Tom Ford, Simon Porte Jacquemus… ou encore Hedi Slimane. Aucune décision officielle n’a cependant encore été confirmée. Les équipes internes de Chanel gèrent actuellement la création en attendant la nomination d’un successeur.
La Nidwaldienne a été couronnée samedi Miss Universe Switzerland 2024. Elle représentera l’Helvétie lors de la finale mondiale au Mexique en novembre prochain, avec un défi historique en ligne de mire.
Laura Bircher entre dans l’histoire de la culture helvétique. Samedi 28 septembre, la Nidwaldienne a décroché la couronne de Miss Universe Switzerland. Lors d’une cérémonie éclatante au Kursaal Arena de Berne, l’assistante vétérinaire, âgée de 23 ans, a captivé le jury par « son élégance et son charisme », rapporte M Le Media.
Mais c’est aussi son engagement profond pour la santé mentale qui l’a distinguée des 18 autres candidates. Après un séjour marquant à Hawaï, Laura Bircher a confié au Nidwaldner Zeitung avoir traversé des moments difficiles, marqués par la dépression et des crises de panique. Forte de cette expérience, elle s’est promis de mettre en lumière ces enjeux pour sa représentation à Miss Univers 2024:
Je ferai de mon mieux pour représenter dignement la Suisse sur la scène nationale et internationale et m’engagerai notamment en faveur de causes sociales.
À ses côtés, la Schwytzoise Barbara Suter a été désignée 1ère dauphine. Nadiya Karplyuk, qui vit à Berne, s’est illustrée en décrochant le 2e titre de dauphine ainsi que celui de Miss Réseaux Sociaux. La native de Genève Alexandra Salmeron a, quant à elle, remporté la 3e place, tandis que la benjamine du concours Ema Hoti, avec son naturel et sa bienveillance tout droit sorties du canton de Vaud, a été élue Miss Sympathie.
Pour Laura Bircher désormais, direction le Mexique. Le 16 novembre, elle rivalisera avec près de 100 candidates internationales en vue du titre absolu: Miss Univers 2024. Avant elle, Loren Santen avait porté les mêmes responsabilités, ne parvenant néanmoins pas à placer la carte helvétique dans le top 20 du concours. A noter que dans l’histoire de ce dernier, aucune ressortissante suisse n’a jamais remporté le titre suprême. Le mieux que le pays ait obtenu est le titre de 2e dauphine, en 2006, grâce à la Lausannoise Lauriane Gillieron.
Vendredi, celle qui habille les icônes américaines les plus en vue a dévoilé pour la première fois son travail à la Fashion Week de Paris. À travers ses créations estivales, elle a réinterprété avec modernité la mémoire de ses racines. Un vestiaire poétique, enivrant.
Dans la première pièce, un chambranle en bois, dont la teinte ivoire arbore les empreintes du temps. Son entrée se drape d’une délicate dentelle blanche couronnée de formes évoquant la rose. Dans une seconde pièce, un assemblage de vases en verre trône, leur écrin rappelant des broderies polonaises raffinées. Partout, des moulures, des astragales, des murs d’un blanc cassé, crème, ivoire… Vendredi 27 septembre, au Boulevard de Courcelles se trouvait un appartement respirant la pureté. La plus éthérée, la plus porteuse d’histoires d’un passé. Le passé de Magda Butrym plus précisément. La créatrice polonaise, célébrée depuis dix ans par des stars telles que Beyoncé et Rihanna, a en effet puisé dans ses souvenirs d’enfance pour donner vie à sa nouvelle collection Printemps-été 2025.
Présentées pour la première fois à la Fashion Week de Paris, ces 64 créations se sont imprégnées d’influences slaves, à la merci du « gossamer », ce terme polonais qui féminise l’été. En titrant sa collection ainsi, Magda Butrym a dévoilé des tenues estivales féminines pour le jour et la nuit. Les pièces se sont ainsi distinguées par leur légèreté aérienne: des robes presque transparentes en jersey soyeux, des mini-robes en soie ivoire entrelacées de fils métalliques ou encore des robes mi-longues à découpes audacieuses mêlant élégance et sensualité affirmée. Le crochet, omniprésent, a permis de passer de vêtements de soirée à une garde-robe urbaine quotidienne, rendant hommage à l’artisanat et le riche patrimoine culturel de la marque.
Parmi les pièces emblématiques de la collection, le sac signature en crochet tricoté à la main avec des napperons en dentelle ou encore la pochette en cuir ont attiré les flashes de tous les smartphones. Le message est sans équivoque: c’est une réussite. A l’instar des sandales à talons ornées de roses en cuir à l’arrière, qui achèvent majestueusement l’ensemble.
Avec cette première collection parisienne, Magda Butrym réussit à tisser un lien profond entre ses créations et son héritage, métamorphosant la nostalgie en un langage stylistique singulier. Ses tenues estivales incarnent une vision qui célèbre la fragilité intrinsèque du temps. A travers l’exploration des nuances d’élégance et de sensualité, sa créativité nous invite à contempler notre propre histoire. Gossamer (2024) est un appel à la réflexion lente, nécessaire, réjouissante.
