Voici le bijou de bras le plus confortable qui soit.
Les fashion weeks de Londres, New York, Paris et Milan captivent toujours les passionnés d’accessoires. Et pour la saison 2024, de nouveaux créateurs de tendances ont émergé à chaque coin de rue. Mais parmi toutes les nouveautés, l’une d’entre elles a immédiatement retenu l’attention: l’essor du « puffer bag », ce sac douillet et matelassé.
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Des podiums à la rue, de magnifiques versions ont été aperçues accrochées aux épaules des adeptes les mieux informées. Reste que l’engouement autour du puffer bag ne date pas d’hier. Le Bubble Quilt en cuir d’agneau de Chanel a fait sensation dès ses débuts en 2007, élevant ce style ludique au rang de luxe incontournable. Depuis lors, cet ancêtre du sac matelassé a inspiré une pléthore de créations majeures, notamment le sac oreiller Glam Slam de Maison Margiela et le sac matelassé Loulou de Saint Laurent, tous deux lancés en 2017. Mais c’est lorsqu’en 2019 Daniel Lee a présenté une version gonflée de l’emblématique intrecciato de Bottega Veneta – le sac Cassette – que le véritable It-bag pour l’automne/hiver de la même année est né.
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Tout comme la doudoune, l’attrait du puffer bag réside dans sa capacité à évoquer le confort et la simplicité. Son design souple et réconfortant offre une alternative à l’esthétique traditionnelle de la mode, prouvant que le style ne se limite pas à l’apparence, mais est également influencé par nos désirs intérieurs. Parce que oui, parfois, tout ce que nous voulons, c’est être confortable. Du coup, après avoir exploré les boutiques les plus prisées, ELLE vous propose une sélection exclusive des meilleurs sacs matelassés et rembourrés à acquérir dès maintenant.
Si quelqu’un sait comment rendre le rembourrage chic, c’est bien Jacquemus.
Ce sac sculptural argenté de JW Pei ressemble à une œuvre d’art et passe facilement du jour à la nuit.
Parfait mariage entre moelleux et élégance, la version proposée par Cos est fabriquée de manière responsable selon les normes du Leather Working Group. De plus, sa taille généreuse permet d’y loger tous vos indispensables du quotidien.
Avec des icônes de la mode telles que Gigi Hadid et Emily Ratajkowski déjà conquises par le dernier coup viral de Miu Miu, il semble inévitable de suivre leurs traces.
La version élégante du sac matelassé proposée par Charles & Keith est également assortie d’une étiquette de prix irrésistible. Nous apprécions la polyvalence de ce sac, qui peut être porté en bandoulière ou ajusté pour adopter un style de sac à épaule.
Exemple judicieux des tendances trompe-l’œil de Maison Margiela, le Glam Slam est conçu pour ressembler à une veste matelassée retravaillée, avec un corps volumineux et une bandoulière de style ceinture.
Le maxi-tote matelassé est sur le point de devenir l’un des styles les plus en vogue de la saison – et ce modèle peut même accueillir un ordinateur portable.
À la recherche du tote parfait pour le travail, la salle de sport, une escapade en ville et bien plus encore? Ne cherchez pas plus loin que le sac de transport matelassé de Vee.
Le Lou Lou de Saint Laurent a donné naissance à un joli bébé aussi moelleux que merveilleux.
Mignon, moelleux et rose. Le mini-sac de Prada est la touche pop idéale pour dynamiser les looks du printemps et de l’été.
Un classique intemporel qui vous procure une sensation de confort rien qu’en le regardant.
Bottega Veneta. Moelleux. Noir brillant. Tout est dit.
Ce sac en cuir brun chocolat profond semble presque assez appétissant pour être dévoré.
Autrice: Kara Kia
Cet article a été traduit en français et adapté pour la Suisse après avoir initialement été publié sur elle.com/uk. Retrouvez tous les autres articles de cette édition sur le site web officiel.
La matière la plus répandue dans l’industrie textile, de la fast fashion à l’univers du luxe, est aussi parmi les plus nocives pour l’environnement, même recyclée. Il demeure toutefois des exceptions. Explications.
Certains le voient comme le paria à éviter dans les textiles, d’autres comme une alternative économique aux fibres plus prestigieuses. Reste que chacun détient dans sa garde-robe certainement plus de polyester qu’il ne l’imagine. La majorité des pièces vestimentaires contemporaines sont façonnées à partir de cette fibre synthétique, et ce, bien au-delà des frontières de la fast fashion.
De nos jours, le polyester s’infiltre même dans les sanctuaires de la mode de luxe, se parant de l’appellation honorable de « polyester recyclé » pour séduire une clientèle en quête de durabilité. Et des chiffres considérables le prouvent: selon le rapport 2023 du Textile Exchange Material Market, la production mondiale de fibres a culminé à 116 millions de tonnes en 2022, avec une prévision vertigineuse de 147 millions d’ici 2030, dont près de 54 % seront du polyester.
Dans l’univers restreint des habits, le polyester et le nylon règnent en maîtres, comptabilisant à eux seuls 69 % des matériaux utilisés dans cette industrie, un pourcentage qui pourrait même flirter avec les 75 % d’ici cinq ans à peine. La question se pose alors: le polyester pourrait-il un jour se réinventer dans une optique durable, ou demeurera-t-il à jamais le vilain petit canard de nos garde-robes?
Remontons le fil du temps: avant les années 1940, les fibres naturelles régnaient en maîtres, représentant jusqu’à 80 % des textiles utilisés dans la confection vestimentaire. C’est en 1941 que le duo de chimistes britanniques John Rex Whinfield et James Tennant Dickson ont jeté les bases de la révolution textile en découvrant le polyéthylène téréphtalate (PET), forme la plus répandue du polyester, marquant ainsi le début d’une ère nouvelle dans l’industrie. Dès lors, cette fibre, immédiatement brevetée, a connu une ascension vertigineuse, boostée par les efforts de l’entreprise chimique américaine DuPont dans les années 1950. Son essor a été particulièrement remarquable dans les années 1970, époque où la mode amorçait une révolution des textiles. Depuis lors, le polyester n’a cessé de prospérer: entre les années 1980 et 2014, sa production a grimpé en flèche, selon les données rapportées par Fibershed, atteignant jusqu’à 900 %.
Le polyester revêt ainsi une série de qualités difficilement égalées: robuste, durable, polyvalent et facile à entretenir, il est surtout ultra économique. Au fil des décennies, l’introduction de technologies novatrices a permis de pallier ses défauts initiaux, comme son manque de respirabilité ou son toucher parfois désagréable sur la peau. Aujourd’hui, le polyester est traité de manière à imiter la soie, la laine, le coton, voire à se métamorphoser en peluches douces, fabriquées à partir de matériaux synthétiques, ou à remplacer le cuir naturel. Sa polyvalence est telle qu’il peut se fondre dans une multitude d’applications, et s’il est soumis à des processus de fabrication spécifiques, enrichissant ses performances et sa durabilité, il est même célébré comme un matériau innovant. Un investissement minimal pour un rendement maximal. De nombreuses marques émergeantes, comme Khy de Kylie Jenner, en ont en effet usé tout en clamant chez Vogue « respecter des normes éthiques élevées » et travailler « avec des fournisseurs et des vendeurs qui partagent cet engagement envers la durabilité, la responsabilité et la transparence ». Mais cette success story n’est pas exempte de reproches, car le polyester, malgré ses atouts indéniables, est également connu pour son impact environnemental dévastateur.
Le terme « polyester » désigne en réalité une catégorie de polymères issus du mélange d’acide téréphtalique et d’éthylène glycol, dérivés du pétrole. En d’autres termes, le polyester n’est rien d’autre que du plastique, le troisième polymère le plus utilisé à l’échelle mondiale, dont les applications dépassent largement le seul domaine de la mode. Comme l’explique à ELLE Sanaz Wasser, qui siège au conseil d’administration de Fashion Revolution Switzerland, outre les quantités considérables d’émissions nocives qu’il génère (l’industrie pétrolière étant l’une des plus polluantes au monde), sa production requiert un processus de chauffage intensif, consommateur d’énormes quantités d’eau pour le refroidissement. Et même ses avantages intrinsèques ont un coût élevé: du fait de sa structure moléculaire complexe, le polyester est si robuste qu’il ne se dégrade pas naturellement. Malgré les avancées technologiques, il demeure un matériau à l’empreinte environnementale significative, avec un temps de décomposition estimé allant de vingt à deux cents ans pour un simple article textile.
La problématique s’aggrave lorsqu’on considère l’utilisation de colorants dérivés du polyester, dont les résidus se retrouvent dans les eaux usées des usines textiles, engendrant lors de leur élimination des dommages graves non seulement pour la flore et la faune, mais également pour l’homme, notamment sous forme de maladies pulmonaires, particulièrement chez les travailleurs de ces industries. Enfin, un enjeu majeur associé au polyester, et aux fibres synthétiques en général, réside dans la multitude de microplastiques libérés lors du lavage des vêtements, polluant les eaux et finissant par être ingérés par les poissons et le plancton, avec des conséquences insidieuses sur la chaîne alimentaire humaine.
35 % des microplastiques présents dans nos océans proviennent de nos vêtements à base de polyester.
Même les tissus naturels ne sont pas à l’abri du fléau des microplastiques, en raison des nombreux additifs chimiques dont ils sont souvent imprégnés. Raison pour laquelle le polyester recyclé ne peut pas être considéré comme totalement inoffensif. Ces dernières années, les recherches sur les fibres PET régénérées, souvent issues de bouteilles en plastique recyclées, ont suscité un vif intérêt. Cependant, selon des informations du Guardian, ces fibres pourraient ne pas être aussi recyclables que ce que les entreprises suggèrent souvent. Sanaz Wasser, qui a par ailleurs créé sa propre marque végétalienne Sanikai il y a huit ans, ajoute que le polyester recyclable implique un processus de confection souvent difficile et coûteux, de nombreux produits finissant dans les décharges et se décomposant lentement. Finalement, notamment dans le domaine de la fast fashion, les vêtements finaux sont souvent confectionnés à partir d’un mélange de polyester vierge et recyclé, perpétuant ainsi la dépendance aux combustibles fossiles pour des produits destinés inévitablement aux décharges.
Tout d’abord, il convient de noter que tous les polyesters recyclés ne sont pas égaux. Il existe une distinction entre ceux obtenus par recyclage chimique, qui décompose la fibre en monomères, la « régénérant » efficacement pour la ramener à son état d’origine, et les autres méthodes moins répandues. Ce processus, bien que prometteur, demeure encore largement l’apanage des grandes maisons de couture qui accordent une réelle importance à la durabilité environnementale. En revanche, le polyester recyclé de type plus conventionnel est souvent exploité par les marques de fast fashion pour améliorer leur image, tout en restant fermement attachées à leur objectif premier de maintenir les coûts de production à un niveau minimal.
À une échelle plus large, il est crucial d’examiner attentivement l’approche de chaque marque et de prêter une attention particulière à la composition des tissus afin de choisir des alternatives véritablement durables. Les matières biologiques et biodégradables telles que le coton, la soie, la laine, le lin, le chanvre, la viscose (obtenue chimiquement mais à partir de cellulose naturelle) et le TENCEL (issu de l’eucalyptus et nécessitant peu d’eau lors de sa production) constituent des choix judicieux. En outre, les boutiques de seconde main connaissent actuellement un engouement considérable et mérite d’être envisagé comme une option sûre et écologique.
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Autrice: Francesca Milano Ferri
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Mercredi, le Conseil fédéral a reconnu la nécessité d’encadrer ce type de harcèlement d’une disposition légale. Ce projet de loi présenté par le Parlement intervient alors que les femmes sont les premières victimes.
Traquer les faits et les gestes d’une personne qui craindrait alors pour sa sécurité doit devenir une infraction en Suisse. C’est du moins le projet présenté en 2023 par le Parlement et qui s’est finalement vu soutenu par le Conseil fédéral mercredi 15 mai. Car bien qu’il existe déjà dans le pays des moyens civils et pénaux pour faire face à ce comportement, il ne demeure, comme l’indique la Prévention Suisse de la Criminalité (PSC), aucun élément constitutif qui le place comme illégal en tant que tel.
Pour la Commission des affaires juridiques du Conseil national (CAJ-N), antenne parlementaire à l’initiation de ce projet de loi, le « stalking » ne consiste pas uniquement en la traque (filature, espionnage, rencontres répétées inopportunes au travail ou au domicile) d’autrui. Il implique tout autant le harcèlement (cadeaux, contacts répétés par téléphone ou mail, réseaux sociaux) ou encore la menace (tentative d’intimidation, voies de fait, empiètement dans le logement ou la propriété) de ce dernier. Peu importe alors que l’auteur agisse dans le monde réel ou à travers des technologies informatiques, insiste la CAJ-N, l’ensemble de ces actes réalisés à répétition pouvant en effet susciter la crainte de la victime.
C’est à ce titre que le Conseil fédéral a ainsi publié un avis qui reconnaissait le besoin d’une telle disposition pénale en Suisse. L’autorité gouvernemental a toutefois souligné que cette dernière ne devait pas « nourrir des attentes trop élevées », car, selon lui, déterminer les entraves à la liberté individuelle reste complexe:
Il restera difficile, même en application d’une norme spécifique, de déterminer à partir de quel stade une personne se trouve entravée dans la libre détermination de sa façon de vivre, d’autant que des actes pris isolément peuvent ne pas constituer un comportement répréhensible.
Le Conseil fédéral a en outre souligné que l’application de la nouvelle norme pourra donner lieu à une charge de travail supplémentaire et à une augmentation des coûts de la poursuite pénale. Le Conseil fédéral propose alors que les éléments constitutifs du « stalking » ne soient réunis que si la victime se trouve entravée de manière intolérable, afin que les atteintes relativement légères ne soient pas punissables.
Finalement, selon les recommandations de la commission, il est primordial de ne déclencher des poursuites pénales qu’à la suite d’une plainte déposée par la victime, laquelle est la mieux à même de juger si elle se sent affectée dans sa sécurité ou sa liberté. Il est catégoriquement exclu d’entamer une procédure pénale contre la volonté de la victime. Et contrairement à l’avis de la commission, le Conseil fédéral soutient que les infractions devraient également être poursuivies sur plainte dans le cadre des relations conjugales.
Cette nouvelle intervient alors que la série Netflix Mon petit renne racontant le parcours d’un homme harcelé bat des records d’audience. Décrite comme une histoire vraie, la fiction a conduit de nombreux spectateurs à partir à la chasse de la réelle stalkeuse. Conséquence immédiate de cet embrasement médiatique à l’encontre de cette femme, Fiona Harvey, qui se déclare être la personne dépeinte dans la fiction, s’est vue obligée de témoigner sur un plateau télévisé.
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Du côté des scientifiques, le phénomène intéresse tout autant. Une revue des données épidémiologiques sur le stalking relayée en 2008 par la Revue médicale suisse a permis de mesurer l’importance de ce phénomène dans les sociétés occidentales. Selon les auteurs, 12 à 16% des femmes et 4 à 7% des hommes en sont les cibles durant leur vie, les femmes constituant l’énorme majorité des victimes (78%) et la première agression ayant le plus souvent lieu entre 18 et 29 ans.
C’est la grande redécouverte de 2024.
Parmi les tendances make-up du printemps 2024 émerge une redécouverte remarquable: le fond de teint compact. Mais pas celui auquel on pourrait instinctivement penser. Il s’agit plutôt du format coussin, qui connaît un regain d’intérêt après avoir oscillé en popularité par le passé, pour maintenant s’imposer fermement comme un incontournable. Cette résurgence est entièrement créditée à la k-beauty (mise en beauté coréenne) dont l’influence perdure et continue de façonner les tendances à l’échelle mondiale, aussi bien en matière de soins que de maquillage.
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Dans cette vague de « clean girl make-up », caractérisé par sa légèreté, son imperceptibilité et sa luminosité éclatante, le fond de teint compact joue un rôle pivot. Ce produit offre une perfection subtile mais remarquablement naturelle, en créant une base qui semble quasiment fusionner avec la peau. Réalisé avec des produits à couvrance moyenne mais affichant un fini lumineux, il incarne l’essence même de cette tendance. En offrant la possibilité d’une application personnalisée, le fond de teint compact se positionne comme l’allié parfait pour obtenir ce teint éclatant et impeccable, sans compromis sur la fraîcheur et la légèreté.
Adoptés avec enthousiasme par la communauté TikTok, ces emballages au design ingénieux rappelant ceux des poudres pour le visage connaissent un engouement sans précédent. À l’intérieur, un coussin à presser équipé d’une éponge spéciale offre une expérience de maquillage révolutionnaire : une distribution précise de petites quantités de produit, parfaitement calibrées pour répondre à nos besoins spécifiques. Cette technologie garantit une application en douceur, déposant une fine couche ultra-légère de produit sur la peau, en accord avec la philosophie coréenne qui privilégie une approche subtile et naturelle du maquillage.
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La résurgence de ce fond de teint n’a pas seulement élargi sa palette de couleurs, qui inclut désormais des teintes plus variées et nuancées, mais elle a également permis d’améliorer sa performance et sa longévité. Malgré son évolution, la couvrance demeure légère, en cohérence avec l’idée que la peau devrait être traitée avec bienveillance et jamais étouffée, mais plutôt subtilement unifiée pour une texture soyeuse et radieuse.
Les fonds de teint compacts sont l’option de prédilection pour celles et ceux qui recherchent une apparence fraîche et éclatante en un temps record, tout en préservant un aspect discret et naturel. Cependant, si vous visez une couverture des imperfections, des boutons et des marques, ce produit pourrait ne pas répondre à vos attentes.
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De même, les fonds de teint compacts ne conviennent pas nécessairement aux peaux mixtes ou grasses. Traditionnellement formulés pour offrir un fini lumineux et hydratant, ils peuvent ne pas convenir à ceux qui ont tendance à briller facilement. Heureusement, le marché répond désormais à cette demande croissante en proposant des options spécifiques, notamment des fonds de teint compacts matifiants. Ce changement reflète la montée en puissance des consommateurs de plus en plus avertis, soucieux de trouver des produits adaptés à leurs besoins spécifiques et à leur type de peau.
Autrice: Carlotta Tosoni
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A la fin du printemps, Genève accueillera la première adresse romande de l’une des marques du géant suédois les plus encensées par les influenceuses britanniques. Un vestiaire qui ravira les passionnés des lignes minimalistes et fonctionnelles tant pour leurs vêtements que pour la déco de leur maison.
Après avoir investi la Suisse alémanique en novembre 2023, Arket se tourne désormais vers la Romandie. Prévue à Genève, cette nouveauté tout droit sortie de Scandinavie sera la deuxième boutique physique de la renommée marque de vêtement sur le marché helvétique.
Notre concept et nos collections ont été très bien accueillis en Suisse depuis l’ouverture de notre magasin à Zurich l’automne dernier. Nous sommes très heureux d’annoncer cette nouvelle implantation à Genève et avons hâte de renforcer notre relation avec nos clients locaux.
C’est un événement sans précédent qui se profile pour le populaire quartier de Bel-Air dans lequel Arket élira domicile. Lancée en 2017, cette dernière est l’une des deux lignes haut de gamme – avec COS (Collection of style) – du groupe H&M. Mais loin du luxe épuré de sa cousine arrivée dans la Cité de Calvin trois ans plus tôt, Arket puise son inspiration dans le mouvement moderniste nordique du 20e siècle, qui a lié les mondes de l’art, de l’artisanat et de la fonctionnalité. Ses habitués se délectent donc de basiques qualitatifs et durables comprenant des essentiels de garde-robe et de designs plus exclusifs qu’ils ne sauraient en trouver chez H&M.
A Genève, Arket ne présentera pas qu’une sélection soigneusement choisie de prêt-à-porter et d’accessoires pour femmes, hommes, et enfants. Seront par ailleurs offerts des soins du corps et du design intérieur.
L’ouverture étant prévue pour la fin de la saison du printemps 2024, il s’agira du 29e point de vente mondial de la marque suédoise déjà solidement établie au Royaume-Uni.
Arket, Rue de la Confédération 6, 1204 Genève, Suisse
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Vanina, ingénieure en technologie du vivant, est passionnée par le monde des cosmétiques et des produits naturels. En 2016, elle fonde La Petite Fabrique basée à Broc dans le canton de Fribourg. Bonheur garanti!
Un concept éthique qui répond à sa volonté de marier cosmétique, créativité et poésie. Très vite, ce projet se transforme en une véritable aventure familiale où les compétences de chacun et de chacune sont valorisées visant aussi bien les domaines de la production, de la vente que de la préparation des commandes. Les produits sont 100% naturels, fabriqués artisanalement avec passion dans l’atelier situé au cœur de la région de la Gruyère.
Envie de gâter une maman, des amis ou des collègues de travail ? Il suffit de composer un coffret plein d’amour composé par exemple d’une bougie, d’un savon et d’un soin à choix accompagné d’un petit mot personnalisé (dès CHF 45.-).
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Douceur et harmonie riment avec séduction et apaisement. On part à la découverte de savons cheveux, corps, visage veloutés, (prix variable selon produit), d’une Bougie Printanière au parfum délicat du cerisier du Japon (CHF 38.-), d’une Bougie Escapade Polynésienne (CHF 27.-) aux notes de tiaré, monoï, tubéreuse et ylang- ylang ou encore d’une Bougie Sérénité dévoilant des empreintes de musc blanc, lotus, feuilles de ginkgo et aloe vera…(CHF 27.-). D’autres appellations intrigantes font rêver: Rendez-vous inattendu, Balade dans les Alpes, Nuage de bonheur, Divinement rose, Douceur d’avocat, Cheveux au vent, Exquise gourmandise…
À la recherche d’une activité ludique ? La Petite Fabrique propose de partager une expérience conviviale et chaleureuse en donnant la possibilité de réserver en ligne un atelier personnalisé. La partition de la créativité sera alors à l’honneur en confectionnant une bougie, un bracelet, un savon à deux ou quatre mains!
lapetitefabrique.ch
La soirée du 14 mai était tant une explosion de fabuleuses oeuvres cinématographiques que vestimentaires. Sélection des plus belles tenues de stars.
L’été bat son plein avec le début du Festival de Cannes. Mardi 14 mai, les étoiles hollywoodiennes ont rivalisé d’audace sur le tapis rouge, offrant un spectacle aussi captivant que les films qu’ils représentaient. Parmi les œuvres cinématographiques les plus attendues, ont trôné en tête de liste des titres tels que Furiosa: A Mad Max Saga (2024), dernière création envoûtante de l’esprit visionnaire de George Miller, mettant notamment en vedette la talentueuse Anya Taylor-Joy, The Apprentice (2024), un portrait cinématographique du président américain le plus controversé Donald Trump, porté à l’écran par le talentueux Sebastian Stan et Kinds of Kindness (2024), le nouveau bijou cinématographique signé Yorgos Lanthimos. Mais entre les projections captivantes et les acclamations enflammées, ELLE a capté les plus éblouissants des looks.
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L’actrice américaine portait une robe Haute couture de la maison Dior.
L’actrice française était en robe et joaillerie Louis Vuitton.
La réalisatrice du blockbuster Barbie (2023) portait une robe Saint Laurent et de la joaillerie Chopard.
Le mannequin américain a brillé en joaillerie Messika.
La comédienne française portait une robe Courreges.
La star de Germany’s Next Top Model s’est rendue à l’événement annuel en robe Saiid Kobeisy.
La Française élue Miss Univers 2016 portait Ali Karoui ainsi que des bijoux de la marque parisienne Burma.
L’actrice française a attiré tous les regards sur elle avec sa robe Armani.
Auteur: Kevin Leblanc
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À l’occasion de la Journée Mondiale de la pré-éclampsie, l’Hôpital de La Tour organise une conférence publique ce 22 mai, destinée à informer sur cette complication grave de la grossesse.
Qu’est-ce que la pré-éclampsie ?
La grossesse est un événement heureux… la plupart du temps. Pourtant chaque année des millions de femmes dans le monde sont confrontées à la pré-éclampsie avec de sérieuses conséquences pour elles et leurs bébés. Ce syndrome, qui résulte d’un développement anormal du placenta, peut survenir dans la 2ème moitié de la grossesse. Il se détecte lorsqu’apparaît une hypertension artérielle, avec un signe d’atteinte soit des reins, du foie ou du cerveau. Les symptômes de la pré-éclampsie varient d’une femme à l’autre : maux de tête persistants ou inhabituels, troubles visuels (flou, taches, flashs), nausées et vomissements, œdèmes (rétention d’eau), ou prise de poids brutale.
Le traitement
Le seul traitement de la pré-éclampsie est l’accouchement et la délivrance du placenta.
Des médicaments permettent de faire baisser la tension artérielle et si nécessaire, du sulfate de magnésium est utilisé pour prévenir d’éventuelles convulsions.
Un dépistage précoce
Un dépistage précoce est désormais disponible. Il se réalise lors de l’échographie du 1er trimestre. Si un risque de pré-éclampsie est détecté, une prévention par aspirine faible dose est commencée (à prendre tous les soirs jusqu’à 36 semaines).
L’hygiène de vie, comme une alimentation équilibrée et la pratique d’une activité physique adaptée, sont également des mesures efficaces de prévention.
Risques à long terme
Les femmes qui ont eu une pré-éclampsie ont un risque plus important de développer une maladie cardiovasculaire, une maladie rénale ou un diabète. Leurs enfants sont aussi plus à risque de ces mêmes maladies. Le suivi médical à long terme est essentiel, tant pour le dépistage régulier que la prévention de ces maladies.
Informer pour mieux prévenir
Dans le cadre de son projet Santé de la femme, l’Hôpital de La Tour organise une conférence publique gratuite, le mercredi 22 mai à 18h30 à Genève. Des experts du Centre de Médecine Foeto-Maternelle et du Centre EchoFemme de l’Hôpital de La Tour partageront leur savoir. L’occasion de mieux comprendre les enjeux de cette maladie, d’échanger avec des expertes et la possibilité d’effectuer un dépistage de l’hypertension artérielle.
« Grossesse et hypertension : enjeux pour la santé de la femme » – Conférence publique gratuite (sur inscription) le 22 mai à 18h30 à Uni Mail (Université de Genève)
Programme
18h15 – 18h30 : Accueil des participants
18h30 : Introduction / mot de bienvenue
Katherine Potter, responsable du projet Santé de la femme, Hôpital de La Tour
18h35 – 18h50 : « Pré-éclampsie : diagnostic et prise en charge »
PD Dre med. Nicole Jastrow Meyer, Médecin cheffe spécialiste en gynécologie et obstétrique, spécialiste en médecine foeto-maternelle, Centre MFM, Hôpital de La Tour
18h50 – 19h05 : Dépistage et prévention de la pré-éclampsie au cours du premier trimestre de grossesse
Dre med. Romaine Robyr, spécialiste en gynécologie et obstétrique, spécialiste en médecine foeto-maternelle et ultrasonographie prénatale, Centre EchoFemme, Centre MFM, Hôpital de La Tour
19h05 – 19h20 : Prévention et risque à long terme après une pré-éclampsie
Dre med. Agnès Ditisheim, spécialiste en médecine interne générale et médecine maternelle, Centre MFM, Hôpital de La Tour
19h20 – 19h30 : Témoignage d’une patiente
19h30 – 20h00 : Table ronde animée par Esther Coquoz, journaliste à la RTS
Dès 20h00 : Apéritif et possibilité d’un dépistage de l’hypertension artérielle
Inscription : Je m’inscris
Lieu : Uni Mail (Université de Genève)
Auditoire S160 (au sous-sol)
Boulevard du Pont d’Arve 40
1205 Genève
Transports publics :
Tram 15 et 17, bus 35 : arrêt Uni Mail
Tram 12, 18 et bus 1 : arrêt Pont-d’Arve
La prochaine pleine lune aura lieu fin mai. Elle se situera à ce moment dans le signe du Sagittaire. Voici ce que cela représente pour certaines personnes.
La pleine lune, qui se manifeste tous les 29 jours, est une phase lunaire où la Lune, la Terre et le Soleil s’alignent de manière approximative. Chaque mois, lors de ce moment céleste, des énergies bienfaisantes s’étendent au-dessus de nous, nous invitant à plonger au cœur de notre être.
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En Suisse, la lune atteindra sa pleine phase le 23 mai 2024 à 13h53, avant de décroître progressivement dans l’après-midi et cesser aux alentours de 17h. Cette « pleine lune des fleurs », comme elle s’intitule, sera placée sous le signe du Sagittaire.
La Pleine Lune de mai est souvent appelée la « Lune des Fleurs », un nom qui tire son origine de la floraison abondante observée dans l’hémisphère Nord pendant ce mois. Cette appellation trouve ses racines dans la tradition des Amérindiens, qui, émerveillés par la splendeur des fleurs printanières, ont choisi de baptiser ainsi l’une des Pleines Lunes en leur honneur. Selon nos consoeurs de l’édition française, elle serait donc un moment propice au nettoyage de printemps et aux tris salvateurs. L’idée serait par conséquent d’en profiter pour tout remettre à zéro.
La pleine lune du 23 mai 2024 s’annonce comme un événement astronomique crucial, susceptible d’impacter l’état de bien-être de certains signes astrologiques. Une étude, récemment publiée dans la prestigieuse revue Science Advances, soutient en effet l’argument selon lequel le rythme circadien de ces derniers, intrinsèquement lié à la nature et à leur satellite naturel, est sensiblement influencé par l’éclat lunaire post-crépusculaire prolongé, ce qui stimule ainsi leur activité cérébrale.
Selon les adeptes de l’astrologie dont les propos ont été rapportés par Marie-Claire, cette conjoncture pourrait plus particulièrement affecter deux d’entre eux et leur faire vivre des nuits difficiles une semaine avant le jour J: ces signes sont le Gémeau et le Capricorne. La convergence céleste imminente entre la Pleine Lune et le Sagittaire, dans l’enceinte symbolique de leur 12e maison astrologique, s’annonce en effet comme une configuration cosmique potentiellement tumultueuse pour ces deux signes. Cette rencontre astrale sera amplifiée par l’avalanche d’énergie provenant du pôle opposé du zodiaque du Gémeau et du Capricorne, qui risque de plonger ceux-ci dans une confusion et une anxiété conséquente.
La prestigieuses maison de Florence a fait un retour en force dans la capitale britannique pour son défilé Croisière 2025, consolidant ainsi les liens entre les deux régions.
Peu de monuments de Londres se démarquent autant que la façade brutaliste de la Tate Modern. Pas étonnant que Sabato De Sarno, ait choisi ce lieu pour présenter sa première collection Croisière pour Gucci. Lundi 13 mai, 600 invités exclusifs se sont rendus dans le Turbine Hall du musée pour assister au dévoilement de la nouvelle collection du nouveau directeur artistique de la maison italienne, dont des vedettes telles que Little Simz, Paul Mescal, Solange et Dua Lipa.
Le retour de Gucci à Londres après une absence de près de huit ans était un événement remarquable dans le monde de la mode. La dernière fois que la Maison italienne a illuminé la scène londonienne remonte à 2016, sous la direction éblouissante d’Alessandro Michele, où ses créations avaient pris d’assaut l’abbaye de Westminster. Mais les racines de Gucci dans cette ville emblématique plongent bien plus profondément dans le temps. Le fondateur de la marque Guccio Gucci avait obtenu un emploi de portier à l’hôtel Savoy en 1897. En travaillant là-bas, il s’était inspiré du style et du dynamisme de la ville avant de décider de lancer une marque de bagages. Ainsi naquit la maison Gucci.
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Aujourd’hui, la collection 2025 Croisière marque un nouveau chapitre de l’histoire entrelacée de Gucci et de la capitale britannique. Voici tout ce qu’il faut savoir.
La présence des stars de la musique était considérable lors de cet événement. Little Simz, arborant sa combinaison emblématique de chemise et de cravate, a captivé l’attention, tandis que Dua Lipa a fait sensation dans un bomber noir matelassé. Rina Sawayama a également attiré tous les regards avec son haut bustier noir et ses bottes brillantes jusqu’aux genoux, tandis que Lee Know, la star de K-Pop rendu célèbre par Stray Kids, a impressionné les photographes avec un costume entièrement monogrammé et des mocassins en mors de cheval.
La présence de célébrités telles que Kate Moss et sa fille Lila Moss, ainsi que Devon Carlson, une personnalité influente d’Internet, s’est ajoutée à l’éclat de l’événement. Paul Mescal et Andrew Scott ont tous deux opté pour des encolures en V profondes, le premier dans un ensemble entièrement noir doux et ajusté, tandis que le second a choisi un boutonnage rouge ajusté. Parmi les autres invités à mentionner, Law Roach a également été repéré.
La Tate se démarque comme un bijou en béton au cœur du paysage urbain parsemé de gratte-ciel de verre de Londres. Les modèles, présentés dans le majestueux escalier en colimaçon du Turbine Hall du musée, ont ainsi défilé vers le premier rang, captivant l’attention. Une surprise inattendue attendait les spectateurs: l’espace avait été transformé en une oasis verdoyante au milieu du béton, avec des fougères et des cascades de verdure soigneusement aménagées pour l’occasion, offrant une pause rafraîchissante dans cet environnement citadin.
Mark Ronson a créé la bande originale du défilé, en commençant par le paysage sonore apaisant de la musicienne Terza avant de passer à une variation du classique de Blondie, Heart of Glass (1978), en présence de la chanteuse Debbie Harry. Il a alors terminé par une interprétation de The Power of Love (1984) de Frankie Goes To Hollywood.
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La première tenue à donner le ton du défilé était une blouse à nœud, finement confectionnée dans un organza gris transparent, associée à un blazer à poche en mors de cheval et à un jean à jambes larges. Ce look d’ouverture, ainsi que les suivants, respectaient fidèlement les codes classiques de la Maison Gucci, tout en évoquant l’essence des années 1970 avec des capes, des lunettes de soleil et une subtile nostalgie.
Une série de pièces immaculées, légèrement transparentes, ont apporté une touche de fraîcheur, notamment un short de lingerie assorti à un cardigan, un clin d’œil à la tendance no pants. Cette esthétique sans pantalon a été réinterprétée plus tard dans le défilé avec des ensembles de chemises et de jupes transparentes en noir et rose.
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Les tenues ornées de perles ont offert une allure sophistiquée et dynamique. Un caban beige, sans pantalon bien sûr, était orné de pierres disposées en carrés alternés, captant magnifiquement la lumière. Les jupes perlées portées par-dessus des jeans et des pantalons ajoutaient une touche de glamour à des looks de soirée estivaux.
Pour conclure en beauté, une série de robes plissées légères a été présentée, certaines associées à des bombers en cuir, créant ainsi un contraste captivant entre la délicatesse des tissus et la robustesse du cuir.
Il est désormais établi: le ballet-core est une tendance qui perdure. Alors que les ballerines occupaient une place de choix dans la collection dernièrement, les voila qu’elles cèdent leur place à des modèles à nouer autour de la cheville. Une profusion de combinaisons entre mocassins et chaussettes a également été remarquée, avec de nombreux accessoires assortis aux tenues.
En ce qui concerne les sacs, la règle est simple selon Sabato De Sarno: plus ils sont grands, mieux c’est. Préparez-vous donc à arborer votre Jackie dans une taille plus imposante la saison prochaine.
Autrices: Rédaction de ELLE UK
Cet article a été traduit en français et adapté pour la Suisse après avoir initialement été publié sur elle.com/uk. Retrouvez tous les autres articles de cette édition sur le site web officiel.
