Une nouvelle icône de l’indépendance est née.
Marilyn Monroe disait que les diamants étaient les meilleurs amis des femmes. Emily Ratajkowski a changé la célèbre maxime en l’attribuant désormais aux divorcées. Mercredi 20 mars, le mannequin britannique s’est en effet affichée sur les réseaux sociaux avec de nouveaux accessoires aux doigts: deux anneaux en or, l’un entourant son annulaire avec un diamant de forme trapézoïdale et l’autre sublimant son auriculaire orné d’un autre énorme diamant en poire. « Bagues de divorce », a-t-elle alors légendé. Car les deux pierres proviennent en effet de son union que la star de 32 ans avait reçues en 2018 de son ex-mari Sebastian Bear-McClard. Le couple s’était séparé quatre ans plus tard.
Les bagues ont été fabriquées sur mesure par la joaillière new-yorkaise Alison Lou. Le compte Instagram de sa marque a également partagé des photos des pièces, confirmant être à l’origine des bijoux d’Emrata: « Nous avons créé les bagues de fiançailles originale à deux pierres ».
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« Je voulais être celle qu’on choisit »
Aucune tristesse dans ces clichés. Ces bagues sont une question de célébration de soi, après une longue période de réflexion intense, comme l’autrice de The Body (2021) l’expliquait à Harper’s Bazaar à l’issue de son divorce en 2022: « Je peux vous dire que je n’ai jamais été célibataire auparavant. […] Je ressens plein d’émotions: de la colère, de la tristesse. Je ressens de l’excitation. Je ressens de la joie. Je ressens de la légèreté. Chaque jour est différent. La seule certitude que j’ai, c’est que je ressens toutes ces émotions, ce qui est réconfortant car cela me donne espoir que tout ira bien. »
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Emily Ratajkowski avait également expliqué comment son approche des rencontres avait changé à la suite de la rupture de ses voeux: « J’étais un peu comme une ‘pick me‘ – comme on dit sur TikTok – dans le sens où je ne savais pas vraiment ce que je voulais. Je voulais juste être choisie. C’était difficile pour moi de sortir avec quelqu’un et de savoir réellement si je l’aimais ou non. Je me préoccupais plutôt de la façon dont ils me percevaient, de ce que cela signifiait, de leurs attentes envers moi, et de ce que cela impliquait pour ma propre valeur. Mais je ne ressens plus ce besoin maintenant. »
