Les œuvres du Suisse Alberto Giacometti ont inspiré Schiaparelli

13 novembre 2023 · Emma Mohrhauer

Il y a 50 ans, Elsa Schiaparelli disparaissait. Ce lundi 13 novembre, en hommage à la prêtresse de la mode surréaliste, ELLE dévoile cinq anecdotes que vous ne connaissiez sûrement pas à son propos.

Elsa Schiaparelli s’est associée à un Suisse

Durant les années 1930, Elsa Schiaparelli s’est associée à plusieurs artistes surréalistes dont le Suisse Alberto Giacometti. Le site internet de la maison italienne explique que la Romaine et le Grison se sont rencontrés à Paris au sein du mouvement surréaliste, et ont noué une amitié durable. La célèbre couturière, s’est inspirée de l’univers fantastique du sculpteur et peintre savamment respecté dans ces domaines, pour créer des vêtements audacieux et innovants. Giacometti, quant à lui, a réalisé plusieurs portraits de Schiaparelli, captant son élégance et sa personnalité. Le lien entre ces deux génies est donc à la fois artistique et affectif.

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Elle a inventé une couleur

En 1937, Elsa Schiaparelli crée le « rose shocking ». Comme l’explique Le Figaro, il s’agit d’une nuance de fuchsia très vive, notamment utilisée pour le premier parfum de la Maison italienne dont le flacon était inspiré du corps de l’actrice Mae West. Des vêtements et des accessoires ont également été confectionné en rose shocking devenant plus tard l’emblème de la marque. Le rose shocking a plus tard été repris par d’autres couturiers, comme Yves Saint Laurent, mais également par des mouvements contestataires, comme le punk ou le féminisme.

Elle est la première créatrice à apparaître dans le Time

Après avoir proposée des créations audacieuses et originales, comme le tailleur « rose shocking », le chapeau-chaussure ou la robe homard, Elsa Schiaparelli fait, en 1934, elle la couverture du magazine Time. Une première pour une femme dans le domaine de la mode qui fera d’Elsa Schiaparelli l’une des figures les plus influentes et innovantes de son époque.

Elsa Schiaparelli a été envoyée dans un couvent suisse

Dès son plus jeune âge, Elsa Schiaparelli a fait preuve de talent en ce qui concerne l’art. Rebelle et indépendante, la jeune Italienne rédigeait notamment des poèmes érotiques. Ses parents, qui étaient très conservateurs, ont alors décidé, en 1911, de l’envoyer dans un couvent, en Suisse, afin de la discipliner et la soumettre à leur autorité. Une grève de la faim lui permet de mettre un terme à la punition, rapporte notamment Slate, avant de plus tard s’émanciper de sa famille en déménageant à Paris.

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Elle a débuté chez Lambal

Elsa Schiaparelli a commencé sa carrière comme styliste chez Lambal, où elle a appris les techniques de la confection et du dessin, avant d’ouvrir une boutique, baptisée Pour le Sport, à Paris.

Tags : haute couture · grisons · suisse romande · italie

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Elsa Schiaparelli s’est associée à un Suisse

Durant les années 1930, Elsa Schiaparelli s’est associée à plusieurs artistes surréalistes dont le Suisse Alberto Giacometti. Le site internet de la maison italienne explique que la Romaine et le Grison se sont rencontrés à Paris au sein du mouvement surréaliste, et ont noué une amitié durable. La célèbre couturière, s’est inspirée de l’univers fantastique du sculpteur et peintre savamment respecté dans ces domaines, pour créer des vêtements audacieux et innovants. Giacometti, quant à lui, a réalisé plusieurs portraits de Schiaparelli, captant son élégance et sa personnalité. Le lien entre ces deux génies est donc à la fois artistique et affectif.

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Elle a inventé une couleur

En 1937, Elsa Schiaparelli crée le « rose shocking ». Comme l’explique Le Figaro, il s’agit d’une nuance de fuchsia très vive, notamment utilisée pour le premier parfum de la Maison italienne dont le flacon était inspiré du corps de l’actrice Mae West. Des vêtements et des accessoires ont également été confectionné en rose shocking devenant plus tard l’emblème de la marque. Le rose shocking a plus tard été repris par d’autres couturiers, comme Yves Saint Laurent, mais également par des mouvements contestataires, comme le punk ou le féminisme.

Elle est la première créatrice à apparaître dans le Time

Après avoir proposée des créations audacieuses et originales, comme le tailleur « rose shocking », le chapeau-chaussure ou la robe homard, Elsa Schiaparelli fait, en 1934, elle la couverture du magazine Time. Une première pour une femme dans le domaine de la mode qui fera d’Elsa Schiaparelli l’une des figures les plus influentes et innovantes de son époque.

Elsa Schiaparelli a été envoyée dans un couvent suisse

Dès son plus jeune âge, Elsa Schiaparelli a fait preuve de talent en ce qui concerne l’art. Rebelle et indépendante, la jeune Italienne rédigeait notamment des poèmes érotiques. Ses parents, qui étaient très conservateurs, ont alors décidé, en 1911, de l’envoyer dans un couvent, en Suisse, afin de la discipliner et la soumettre à leur autorité. Une grève de la faim lui permet de mettre un terme à la punition, rapporte notamment Slate, avant de plus tard s’émanciper de sa famille en déménageant à Paris.

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Elle a débuté chez Lambal

Elsa Schiaparelli a commencé sa carrière comme styliste chez Lambal, où elle a appris les techniques de la confection et du dessin, avant d’ouvrir une boutique, baptisée Pour le Sport, à Paris.

Tags : haute couture · grisons · suisse romande · italie