Synonyme d’économie circulaire, le marché de l’occasion a bonne presse, notamment auprès des jeunes générations.
GUCCI – Aventure conceptuelle
Alessandro Michele surfe sur l’engouement pour les produits mode et luxe en créant Vault, son propre marché de seconde main et propose directement aux consommateurs une toute nouvelle catégorie d’objets, à la fois vintage et neufs, customisée parfois par le designer en personne avant de les revendre. On y retrouve notamment une sélection des sacs icônes de la marque, allant des années 1960 à 1980.
ISABEL MARANT VINTAGE . Démarche solidaire
Depuis la création de sa marque éponyme, Isabel Marant se positionne en faveur d’une mode responsable. Un enjeu fondamental qui l’inspire à créer sa propre plateforme de seconde main. En échange d’un bon d’achat remis au vendeur, on peut s’offrir les dernières nouveautés ou dénicher des pièces d’anciennes collections sur Isabel Marant Vintage. Ce projet vise à redonner une seconde vie aux pièces de la marque.
THE KOOPLES – Seconde Love
Pour les amoureux de la marque, il est désormais possible de se procurer des pièces des anciennes collections à prix réduits. Avec sa toute nouvelle plateforme «Second Love» The Kooples mise sur le marché de l’occasion en rachetant aux particuliers des articles de la marque en échange d’un bon d’achat et se charge de la mise en vente du produit en ligne ainsi que de la livraison.
HERMES – Rareté organisée
Le marché n’est pas nouveau. Depuis une quinzaine d’années, les maisons de ventes aux enchères proposent plusieurs fois par an des vacations entièrement consacrées aux sacs Hermes avec les Kelly, Birkin ou Constance. Des modèles d’occasion dont la cote dépasse fréquemment les 10 000 francs et dont la valeur moyenne a été multipliée par 6, voire plus, pour certains modèles.
