Nos athlètes suisses en mode glamour pour ELLE: le shooting et les portraits complets

Avant Paris 2024, ces athlètes, qualifiées dans différentes disciplines, ont joué les mannequins pour ELLE Suisse. Un shooting réalisé grâce aux tenues fournies par Zalando et à la contribution du Musée olympique.

Maquillées, très élégantes, dignes d’une montée des marches à Cannes, ces cinq championnes, qui participeront aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris, ont pris un plaisir fou à jouer les mannequins d’un jour lors de ce shooting très glamour organisé par ELLE Suisse. À part Sarah Atcho, la sprinteuse qui avait déjà posé pour la mode, ce fut une véritable découverte pour les autres. Et toutes ont adoré. «Supercool, une belle expérience», lance Nikita Ducarroz, la championne de BMX, qui visera une nouvelle médaille après celle de Tokyo. «Je m’intéresse beaucoup à la mode et ce shooting a été très sympa, très marrant», enchaîne Maud Jayet, la navigatrice». Même enthousiasme chez l’épéiste Pauline Brunner. «L’équipe nous a si bien accueillies».

Alors qu’elles ne se connaissaient que de nom, une belle complicité, sur fond de rires et de bonne humeur, s’est immédiatement installée entre elles. «La musique a contribué à rendre l’atmosphère très relax. À part Sarah, les autres ne sont pas habituées à porter des talons et, même un peu hésitantes, elles ont relevé le défi avec beaucoup d’humour. L’idée était de montrer ces athlètes autrement, glamour, fraîches, belles, jeunes», relève Melissa N’Dila, responsable éditorial digital chez ELLE qui coordonnait le shooting.

A lire aussi: Pourquoi l’uniforme des athlètes américaines aux J.O. 2024 fait polémique

Une vingtaine de personnes composaient l’équipe. Michael T. Nyembo, le photographe, bien connu dans le milieu de la mode, a déjà travaillé à Los Angeles avec des stars comme Chris Brown et le rappeur Wiz Khalifa. Durant tout le shooting, lui et son assistante ont su mettre en confiance les filles. La glam team comme on dit réunissait Carolina Fernandes, la directrice artistique, deux coiffeuses et deux maquilleuses. «J’étais étonnée de voir autant de monde pour nous», sourit Manuela Schär, multiple médaillée paralympique. Les tenues très classe ont été fournies par Zalando. La torche qu’on peut voir sur la photo de groupe était celle des JO de Tokyo, la vraie, prêtée exceptionnellement par le Musée olympique et surveillée de près par un technicien. Et chaque athlète avait amené un objet évoquant son sport: un témoin du relais pour Sarah, un cordage pour Maud, une épée pour Pauline. Après le shooting, ravies de l’expérience, les cinq championnes sont reparties en gardant leur maquillage, histoire de prolonger un si bel après-midi.

Nikita Ducarroz
27 ans, Genève (GE), BMX freestyle


De père suisse et de mère américaine, Nikita Ducarroz vit aux États-Unis en Caroline du Nord, mais séjourne régulièrement chez ses grands-parents à Genève. Troisième lors de la première olympique du BMX à Tokyo, elle espère remporter une nouvelle médaille à Paris «quelle qu’en soit la couleur», sourit-elle. Ce que Nikita aime dans le BMX, c’est «son côté créatif». Après les Américaines, ce sont les Chinoises aujourd’hui qui dominent. Oubliés la pandémie et le huis clos japonais, ces voltigeuses sur vélo et leurs folles arabesques se produiront à Paris devant des milliers de spectateurs à la place de la Concorde, au cœur de la ville. «Tous les billets ont déjà été vendus», se réjouit la Genevoise. Elle estime que le BMX l’a sauvée des terribles crises d’anxiété qui durant son enfance, l’empêchaient de sortir parfois. Elle en témoigne avec courage sur un site Instagram baptisé «Mindtricks» à ceux qui souffrent du même mal à oser en parler.

Nikita Duccaroz posant pour ELLE en pullover CULT GAIA, pantalon BAUM UND PFERDGARTEN, mules MIISTA disponibles sur Zalando. ©Mike Nyembo (Eyeattraction)

Sarah Atcho
29 ans, Lausanne (VD), Sprint


À 29 ans, Sarah Atcho participera sûrement à ses troisièmes JO et elle a encore de la peine à y croire. « À Rio, en 2016, je pensais ne vivre cela qu’une fois dans ma vie, c’était déjà comme un accomplissement pour moi ». Après une période sombre ponctuée de blessures et de doutes, la Lausannoise, aujourd’hui mariée, a retrouvé la forme au bon moment et espère être qualifiée aussi pour bien pour le 200 mètres que le relais 4×100 mètres. Elle souhaite y être titulaire alors qu’à Tokyo, elle avait dû se contenter d’un rôle de remplaçante dans cette équipe, emmenée par Mujinga Kambudji et Ajla Del Ponte, qui avait signé un exploit en se classant quatrième de la finale à un souffle d’une médaille. Sarah, connue pour son sourire et son caractère extraverti, se réjouit de courir dans un Stade de France comble, aux antipodes des travées vides de Tokyo, Covid oblige. L’athlétisme reste le sport roi des JO d’été. «Rien que d’y penser, j’en ai déjà des frissons. Ce sera une belle récompense pour moi», conclut Sarah.

Sarah Atcho posant pour ELLE en robe BY MALEN BIRGER, mules CULT GAIA disponibles sur Zalando. ©Mike Nyembo (Eyeattraction)

Manuela Schär
39 ans, Altishofen (LU), Handisport


Manuela Schär a participé à tous les Paralympiques depuis Athènes en 2004. Avec une jolie moisson de médailles à la clé. Elle en a raflé pas moins de cinq à Tokyo en 2021 dans sa spécialité, la course, dont deux en or sur 400 et 800 mètres. La Lucernoise espère finir en apothéose à Paris, ses derniers JO. «Une médaille me suffirait», nous dit-elle. Grande spécialiste du marathon, elle a réalisé un grand chelem historique en 2019 en s’imposant aussi bien à Boston, New York, Berlin, Tokyo et Londres, les plus mythiques de tous. Lors de ces épreuves urbaines, les athlètes handisport courent le même jour que les valides et devant des foules records, plusieurs millions de spectateurs à New York par exemple. Ce que Manuela a toujours beaucoup apprécié. «Ça vous aide surtout dans les derniers kilomètres», s’amuse-t-elle. La championne lucernoise avait 9 ans quand un accident survenu sur une aire de jeu l’a privée de l’usage de ses jambes. En forme olympique, elle fêtera ses 40 ans le 5 décembre prochain.

Manuela Schär posant pour ELLE en blazer ROHK, pantalon FILIPPA K, escarpins GIA BORGHINI disponibles sur Zalando. ©Mike Nyembo (Eyeattraction)

Pauline Brunner
29 ans, La Chaux-de-Fonds (NE), Escrime


L’épéiste Pauline Brunner aura un double honneur à Paris: elle sera non seulement la seule Neuchâteloise des JO, mais aussi l’unique représentante féminine suisse en escrime. Les épreuves se dérouleront au Grand Palais, près des Champs-Élysées, un cadre grandiose digne d’un film de cape et d’épée. Pauline a décroché son billet pour ses premiers JO lors de son ultime chance de qualification, fin avril au Luxembourg. Un moment gravé à jamais. « Je suis si heureuse, je ne réalise pas encore », disait-elle ce jour-là en explosant de joie. Aujourd’hui, elle continue à savourer son bonheur. «J’avais stressé un mois entier avant cette compétition et j’ai réussi à me libérer le jour J», nous raconte-t-elle. Deux fois finaliste en Coupe du monde cette saison, la Neuchâteloise ne cache pas ses ambitions. «Dans un bon jour, je sais que je peux aller chercher une médaille d’autant que 29 ans est un âge idéal pour ce sport. Tout dépendra du tirage au sort, car en escrime vous pouvez tomber sur votre bête noire dès le premier tour». Elle avait 6 ans quand elle a commencé à imiter d’Artagnan. «En allant à la piscine de La Chaux-de-Fonds avec ma maman, on passait toujours devant la salle d’escrime, c’est comme cela que je m’y suis mise».

Pauline Brunner posant pour ELLE en gilet et pantalon HOLDZWEILER, escarpins GIA BORGHINI disponibles sur Zalando. ©Mike Nyembo (Eyeattraction)

Maud Jayet
28 ans, Lausanne, Voile


L’eau est le royaume de Maud Jayet, née à Lutry (VD), au bord du lac. Elle nage, s’éclate en windsurf et navigue surtout, son domaine d’excellence. Elle s’y est mise petite en accompagnant son frère aîné, mordu lui aussi. Deux fois vice-championne du monde dans sa catégorie des lasers, à La Haye et à Houston au Texas, la Vaudoise, 19e à Tokyo, fera cette fois partie des favorites. La très belle marina de Marseille accueillera les compétitions de voile et pour se préparer, apprivoiser au mieux ce plan d’eau où souffle le mistral, Maud a passé plusieurs mois récemment dans la cité phocéenne. «Je vis en colocation près des Calanques, un peu en dehors du Vieux-Port et j’adore cette ville si vivante». L’excitation précédant les JO commence à monter. «Aujourd’hui, on m’en parle tellement que j’ai hâte d’y être. J’irai quand même à Paris pour vivre la cérémonie d’ouverture». Médaille ou pas, l’étudiante en droit terminera ensuite son mémoire consacré à la pénalisation du dopage.

Robe MARA HOFFMAN, Escarpins GIA BORGHINI disponibles sur Zalando. ©Mike Nyembo (Eyeattraction)

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Photographie: Mike Nyembo pour Eyeattraction
Assistanat photographie: Tiffany Tran
Direction artistique/stylisme: Carolina Fernandes

Assistanat stylisme: Lorène Rappo
Coiffure: Daniela Valenzi & Sarah Gonzalez
Maquillage: Anissa Renko & Renata Ortiz
Looks: Zalando

Torche olympique: Musée olympique de Lausanne

Tags : magazine · Sport · Mode

Avant Paris 2024, ces athlètes, qualifiées dans différentes disciplines, ont joué les mannequins pour ELLE Suisse. Un shooting réalisé grâce aux tenues fournies par Zalando et à la contribution du Musée olympique.

Maquillées, très élégantes, dignes d’une montée des marches à Cannes, ces cinq championnes, qui participeront aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris, ont pris un plaisir fou à jouer les mannequins d’un jour lors de ce shooting très glamour organisé par ELLE Suisse. À part Sarah Atcho, la sprinteuse qui avait déjà posé pour la mode, ce fut une véritable découverte pour les autres. Et toutes ont adoré. «Supercool, une belle expérience», lance Nikita Ducarroz, la championne de BMX, qui visera une nouvelle médaille après celle de Tokyo. «Je m’intéresse beaucoup à la mode et ce shooting a été très sympa, très marrant», enchaîne Maud Jayet, la navigatrice». Même enthousiasme chez l’épéiste Pauline Brunner. «L’équipe nous a si bien accueillies».

Alors qu’elles ne se connaissaient que de nom, une belle complicité, sur fond de rires et de bonne humeur, s’est immédiatement installée entre elles. «La musique a contribué à rendre l’atmosphère très relax. À part Sarah, les autres ne sont pas habituées à porter des talons et, même un peu hésitantes, elles ont relevé le défi avec beaucoup d’humour. L’idée était de montrer ces athlètes autrement, glamour, fraîches, belles, jeunes», relève Melissa N’Dila, responsable éditorial digital chez ELLE qui coordonnait le shooting.

A lire aussi: Pourquoi l’uniforme des athlètes américaines aux J.O. 2024 fait polémique

Une vingtaine de personnes composaient l’équipe. Michael T. Nyembo, le photographe, bien connu dans le milieu de la mode, a déjà travaillé à Los Angeles avec des stars comme Chris Brown et le rappeur Wiz Khalifa. Durant tout le shooting, lui et son assistante ont su mettre en confiance les filles. La glam team comme on dit réunissait Carolina Fernandes, la directrice artistique, deux coiffeuses et deux maquilleuses. «J’étais étonnée de voir autant de monde pour nous», sourit Manuela Schär, multiple médaillée paralympique. Les tenues très classe ont été fournies par Zalando. La torche qu’on peut voir sur la photo de groupe était celle des JO de Tokyo, la vraie, prêtée exceptionnellement par le Musée olympique et surveillée de près par un technicien. Et chaque athlète avait amené un objet évoquant son sport: un témoin du relais pour Sarah, un cordage pour Maud, une épée pour Pauline. Après le shooting, ravies de l’expérience, les cinq championnes sont reparties en gardant leur maquillage, histoire de prolonger un si bel après-midi.

Nikita Ducarroz
27 ans, Genève (GE), BMX freestyle


De père suisse et de mère américaine, Nikita Ducarroz vit aux États-Unis en Caroline du Nord, mais séjourne régulièrement chez ses grands-parents à Genève. Troisième lors de la première olympique du BMX à Tokyo, elle espère remporter une nouvelle médaille à Paris «quelle qu’en soit la couleur», sourit-elle. Ce que Nikita aime dans le BMX, c’est «son côté créatif». Après les Américaines, ce sont les Chinoises aujourd’hui qui dominent. Oubliés la pandémie et le huis clos japonais, ces voltigeuses sur vélo et leurs folles arabesques se produiront à Paris devant des milliers de spectateurs à la place de la Concorde, au cœur de la ville. «Tous les billets ont déjà été vendus», se réjouit la Genevoise. Elle estime que le BMX l’a sauvée des terribles crises d’anxiété qui durant son enfance, l’empêchaient de sortir parfois. Elle en témoigne avec courage sur un site Instagram baptisé «Mindtricks» à ceux qui souffrent du même mal à oser en parler.

Nikita Duccaroz posant pour ELLE en pullover CULT GAIA, pantalon BAUM UND PFERDGARTEN, mules MIISTA disponibles sur Zalando. ©Mike Nyembo (Eyeattraction)

Sarah Atcho
29 ans, Lausanne (VD), Sprint


À 29 ans, Sarah Atcho participera sûrement à ses troisièmes JO et elle a encore de la peine à y croire. « À Rio, en 2016, je pensais ne vivre cela qu’une fois dans ma vie, c’était déjà comme un accomplissement pour moi ». Après une période sombre ponctuée de blessures et de doutes, la Lausannoise, aujourd’hui mariée, a retrouvé la forme au bon moment et espère être qualifiée aussi pour bien pour le 200 mètres que le relais 4×100 mètres. Elle souhaite y être titulaire alors qu’à Tokyo, elle avait dû se contenter d’un rôle de remplaçante dans cette équipe, emmenée par Mujinga Kambudji et Ajla Del Ponte, qui avait signé un exploit en se classant quatrième de la finale à un souffle d’une médaille. Sarah, connue pour son sourire et son caractère extraverti, se réjouit de courir dans un Stade de France comble, aux antipodes des travées vides de Tokyo, Covid oblige. L’athlétisme reste le sport roi des JO d’été. «Rien que d’y penser, j’en ai déjà des frissons. Ce sera une belle récompense pour moi», conclut Sarah.

Sarah Atcho posant pour ELLE en robe BY MALEN BIRGER, mules CULT GAIA disponibles sur Zalando. ©Mike Nyembo (Eyeattraction)

Manuela Schär
39 ans, Altishofen (LU), Handisport


Manuela Schär a participé à tous les Paralympiques depuis Athènes en 2004. Avec une jolie moisson de médailles à la clé. Elle en a raflé pas moins de cinq à Tokyo en 2021 dans sa spécialité, la course, dont deux en or sur 400 et 800 mètres. La Lucernoise espère finir en apothéose à Paris, ses derniers JO. «Une médaille me suffirait», nous dit-elle. Grande spécialiste du marathon, elle a réalisé un grand chelem historique en 2019 en s’imposant aussi bien à Boston, New York, Berlin, Tokyo et Londres, les plus mythiques de tous. Lors de ces épreuves urbaines, les athlètes handisport courent le même jour que les valides et devant des foules records, plusieurs millions de spectateurs à New York par exemple. Ce que Manuela a toujours beaucoup apprécié. «Ça vous aide surtout dans les derniers kilomètres», s’amuse-t-elle. La championne lucernoise avait 9 ans quand un accident survenu sur une aire de jeu l’a privée de l’usage de ses jambes. En forme olympique, elle fêtera ses 40 ans le 5 décembre prochain.

Manuela Schär posant pour ELLE en blazer ROHK, pantalon FILIPPA K, escarpins GIA BORGHINI disponibles sur Zalando. ©Mike Nyembo (Eyeattraction)

Pauline Brunner
29 ans, La Chaux-de-Fonds (NE), Escrime


L’épéiste Pauline Brunner aura un double honneur à Paris: elle sera non seulement la seule Neuchâteloise des JO, mais aussi l’unique représentante féminine suisse en escrime. Les épreuves se dérouleront au Grand Palais, près des Champs-Élysées, un cadre grandiose digne d’un film de cape et d’épée. Pauline a décroché son billet pour ses premiers JO lors de son ultime chance de qualification, fin avril au Luxembourg. Un moment gravé à jamais. « Je suis si heureuse, je ne réalise pas encore », disait-elle ce jour-là en explosant de joie. Aujourd’hui, elle continue à savourer son bonheur. «J’avais stressé un mois entier avant cette compétition et j’ai réussi à me libérer le jour J», nous raconte-t-elle. Deux fois finaliste en Coupe du monde cette saison, la Neuchâteloise ne cache pas ses ambitions. «Dans un bon jour, je sais que je peux aller chercher une médaille d’autant que 29 ans est un âge idéal pour ce sport. Tout dépendra du tirage au sort, car en escrime vous pouvez tomber sur votre bête noire dès le premier tour». Elle avait 6 ans quand elle a commencé à imiter d’Artagnan. «En allant à la piscine de La Chaux-de-Fonds avec ma maman, on passait toujours devant la salle d’escrime, c’est comme cela que je m’y suis mise».

Pauline Brunner posant pour ELLE en gilet et pantalon HOLDZWEILER, escarpins GIA BORGHINI disponibles sur Zalando. ©Mike Nyembo (Eyeattraction)

Maud Jayet
28 ans, Lausanne, Voile


L’eau est le royaume de Maud Jayet, née à Lutry (VD), au bord du lac. Elle nage, s’éclate en windsurf et navigue surtout, son domaine d’excellence. Elle s’y est mise petite en accompagnant son frère aîné, mordu lui aussi. Deux fois vice-championne du monde dans sa catégorie des lasers, à La Haye et à Houston au Texas, la Vaudoise, 19e à Tokyo, fera cette fois partie des favorites. La très belle marina de Marseille accueillera les compétitions de voile et pour se préparer, apprivoiser au mieux ce plan d’eau où souffle le mistral, Maud a passé plusieurs mois récemment dans la cité phocéenne. «Je vis en colocation près des Calanques, un peu en dehors du Vieux-Port et j’adore cette ville si vivante». L’excitation précédant les JO commence à monter. «Aujourd’hui, on m’en parle tellement que j’ai hâte d’y être. J’irai quand même à Paris pour vivre la cérémonie d’ouverture». Médaille ou pas, l’étudiante en droit terminera ensuite son mémoire consacré à la pénalisation du dopage.

Robe MARA HOFFMAN, Escarpins GIA BORGHINI disponibles sur Zalando. ©Mike Nyembo (Eyeattraction)

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Photographie: Mike Nyembo pour Eyeattraction
Assistanat photographie: Tiffany Tran
Direction artistique/stylisme: Carolina Fernandes

Assistanat stylisme: Lorène Rappo
Coiffure: Daniela Valenzi & Sarah Gonzalez
Maquillage: Anissa Renko & Renata Ortiz
Looks: Zalando

Torche olympique: Musée olympique de Lausanne

Tags : magazine · Sport · Mode