La Romande Louise Bonnet parmi les artistes mondiaux les plus en vogue du moment

A 53 ans, l’artiste peintre est dernièrement devenue la seule Suissesse à être représentée par le marchand le plus puissant de l’art contemporain mondial, Gagogsian. Ses oeuvres souvent décrites à la limite de la perversion et de l’innocence racontent d’une main de maître notre époque.

C’est l’artiste la plus en vogue du moment, et elle est helvète. Le succès est tel que, selon un article de Luxury Tribune publié jeudi 18 janvier, Louise Bonnet est depuis quelques temps la seule Suissesse à être représentée par le marchand le plus puissant de l’art contemporain mondial, Gagosian. Un autre artiste du pays, un homme – Urs Fischer – est également soutenu par ce dernier.

Entre l’humain et le sexuel

La nouvelle intervient alors que l’artiste peintre a clôt fin décembre 2023 30 Ghosts, son exposition diffusée depuis le 8 novembre dernier à New York, au cœur de la célèbre galerie Gagosian. Dans cet ensemble de dix tableaux faisant l’ode au surréalisme science-fictionnel, la Genevoise de 53 ans explore le paradoxe de l’existence humaine. Un thème de prédilection chez Louise Bonnet qui expérimente régulièrement dans ses oeuvres « l’expérience d’habiter un corps au fil de ses personnages aux membres engorgés, aux têtes minuscules, aux seins coniques, aux appendices recourbés et aux visages souvent couverts par des cheveux qui évoquent parfois la forme d’un pénis. », observe Luxury Tribune.

Je suis arrivée à un moment où je n’avais ni 25 ans ni 80 ans et où beaucoup de gens ont compris que leur programmation manquait de femmes. Et je fais quelque chose qui apparemment correspond à notre époque

Louise Bonnet, artiste (Luxury Tribune)

Les tableaux de la Suisse romande résidant désormais à Los Angeles suscitent autant le rire que le dérangement, toujours à la limite entre l’humain et le sexuel, l’innocent et le pervers. Des émotions fortes qui, depuis sa première exposition en 2015, semblent avoir trouvé leur public et séduit les critiques les plus respectées du secteur, de The New Yorker à Artforum.

Tags : Genève · etats-unis · Art

A 53 ans, l’artiste peintre est dernièrement devenue la seule Suissesse à être représentée par le marchand le plus puissant de l’art contemporain mondial, Gagogsian. Ses oeuvres souvent décrites à la limite de la perversion et de l’innocence racontent d’une main de maître notre époque.

C’est l’artiste la plus en vogue du moment, et elle est helvète. Le succès est tel que, selon un article de Luxury Tribune publié jeudi 18 janvier, Louise Bonnet est depuis quelques temps la seule Suissesse à être représentée par le marchand le plus puissant de l’art contemporain mondial, Gagosian. Un autre artiste du pays, un homme – Urs Fischer – est également soutenu par ce dernier.

Entre l’humain et le sexuel

La nouvelle intervient alors que l’artiste peintre a clôt fin décembre 2023 30 Ghosts, son exposition diffusée depuis le 8 novembre dernier à New York, au cœur de la célèbre galerie Gagosian. Dans cet ensemble de dix tableaux faisant l’ode au surréalisme science-fictionnel, la Genevoise de 53 ans explore le paradoxe de l’existence humaine. Un thème de prédilection chez Louise Bonnet qui expérimente régulièrement dans ses oeuvres « l’expérience d’habiter un corps au fil de ses personnages aux membres engorgés, aux têtes minuscules, aux seins coniques, aux appendices recourbés et aux visages souvent couverts par des cheveux qui évoquent parfois la forme d’un pénis. », observe Luxury Tribune.

Je suis arrivée à un moment où je n’avais ni 25 ans ni 80 ans et où beaucoup de gens ont compris que leur programmation manquait de femmes. Et je fais quelque chose qui apparemment correspond à notre époque

Louise Bonnet, artiste (Luxury Tribune)

Les tableaux de la Suisse romande résidant désormais à Los Angeles suscitent autant le rire que le dérangement, toujours à la limite entre l’humain et le sexuel, l’innocent et le pervers. Des émotions fortes qui, depuis sa première exposition en 2015, semblent avoir trouvé leur public et séduit les critiques les plus respectées du secteur, de The New Yorker à Artforum.

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