La Fondation Beyeler, située à Bâle, donne à voir jusqu’au 26 juillet une exposition consacrée au peintre américain Edward Hopper.
Paysages magnifiés
«Mon objectif en peinture a toujours été la transcription la plus exacte possible de mes impressions les plus intimes de la nature» (Hopper, 1933). Une vision personnelle où s’entremêlent si délicatement couleurs, ombres et lumières.
Hopper et le cinéma
Edward Hopper a inspiré plusieurs cinéastes parmi lesquels Hitchcock, Hawks, Antonioni… et l’allemand Wim Wenders qui s’est intéressé à ses représentations de paysages et a réalisé un court-métrage en 3D projeté à l’occasion de cette exposition.
Dessins géométriques
Chef de file du réalisme américain, Edward Hopper s’est illustré dans l’art de représenter des paysages, usant de formes géométriques claires et jouant habilement de lignes horizontales et verticales.
Mélancolie et solitude
Suggérant plus que montrant, Hopper excelle à imprimer ses œuvres d’une ambiance nostalgique où l’imaginaire se révèle nécessaire.