Carol Rich

Carol Rich. Une vie qui ressemble à un roman. C’est en 1987 que tout commence pour la jeune fribourgeoise. Carol remporte la sélection au concours de l’eurovision de la chanson en 1987. Les fées se sont penchées sur son berceau. Sa voix est un cadeau de la vie.

À Paris, elle lance sa carrière de chanteuse et enregistre avec la complicité d’Erick Bamy, choriste et musicien de Johnny Hallyday. Tout s’enchaîne mais aussi les moments difficiles. Carol est une battante. Rien ne peut l’abattre. Elle se relève aujourd’hui d’une intervention chirurgicale délicate qui aurait pu la laisser handicapée. Carol garde le sourire. Sur ses béquilles, elle court déjà dans sa tête…

ELLE. Carol Rich, quelle femme êtes-vous?

J’ai du caractère. Je croque la vie à pleines dents et avec un certain panache. Quand j’ai une conviction profonde, je ne change pas de trajectoire. Je suis tenace et je ne me laisse pas influencer. J’aime mon métier par-dessus tout. Je suis une femme épanouie.

En dehors de votre métier de chanteuse, qu’aimez-vous?

J’adore faire la cuisine et recevoir. Faire un repas pour vingt personnes ne me fait pas peur. Cuisiner me détend. Mes amis sont essentiels à mes valeurs de vie.

Quelle rencontre a changé votre trajectoire?

Deux hommes ont changé ma vie. Francis Lai et Roland Romanelli! Je l’ai rencontré après l’émission de l’Eurovision. Il m’a appris à ressentir la musique.

Quels sont les restaurants que vous aimez fréquenter?

Le Baron Tavernier à Chexbres est un de mes restaurants préférés. Sa vue plongeante sur le lac, à couper le souffle, m’émeut à chaque fois. J’aime aussi le Cheval Blanc à Bulle et les Trois Tours à Bourguillon. Les trois sont des restaurants gastronomiques. Leur cuisine est savoureuse et inventive.

Où vous habillez-vous?

À la Boutique Piccadilly, chez Chantal Gremaud à Bulle. Je n’ai pas beaucoup de goût pour me vêtir et surtout accorder les couleurs. Chantal sait me conseiller. Elle met de côté les habits qui pourraient me plaire et, la plupart du temps, tout me sied comme un gant.

Votre QG près de votre bureau?

Mon bureau se trouve dans les entrailles de ma maison, au rez inférieur. Ma véranda est mon QG. J’aime y retrouver mes collaborateurs. Cet espace en pleine nature est une source de vie et de bonheur au quotidien.

Un service à partager avec nos lectrices?

J’ai envie de partager un livre incroyable écrit par Bernard Quiquerez et paru aux Éditions Favre «La vie d’un guérisseur». Je suis croyante et ce livre m’a permis d’aborder mes différentes interventions chirurgicales avec sérénité à la Clinique Cecil à Lausanne. J’ai ressenti une force incroyable. Et sur ses conseils, je prends aussi tous les matins, à jeun, deux cuillères de Vibracell. Cela dope mon énergie!

Le week-end avec les enfants, vous faites quoi?

Notre moment phare est le brunch du dimanche. On fait un petit debriefing de la semaine. C’est l’occasion de discuter à bâtons rompus.

Une adresse de restaurant en amoureux?

Le restaurant La Cène à Fribourg. C’est romantique à souhait. Des petites niches nous permettent de dîner dans l’intimité sans que des bribes de conversation puissent s’échapper. L’ambiance y est feutrée, les lumières flatteuses et la cuisine délicieuse.

Où faites-vous vos courses?

Au risque de ne pas être originale, je fréquente beaucoup la Coop. Ils ont tellement de produits bio! J’ai un petit faible pour la Supercard. Ça me fascine de pourvoir payer mes achats grâce à ma fidélité! Sinon, j’achète certains légumes chez Rumo Primeurs à Bulle. Ils sont d’une grande fraîcheur et d’une qualité exceptionnelle.

Un hôtel où passer la nuit près de chez vous?

L’Hôtel Cailler à Charmey. Le cadre idéal pour se reposer et se ressourcer. À deux pas de chez moi mais dépaysement garanti.

Une adresse beauté?

L’institut Dorothy où règnent une ambiance zen et des senteurs relaxantes. Je fais un soin de beauté du visage, un massage et souvent un drainage. J’en ressors comme neuve! C’est le lieu par excellence dédié à la beauté et à la détente.

Où faites-vous du sport?

J’ai la chance d’avoir un fitness chez moi. Ainsi, je gagne un temps précieux. Je cours aussi au moins trois fois par semaine. Je prends l’air et ça me ressource.

Une adresse quand vous êtes épuisée?

Quand je suis épuisée rien de tel qu’un petit séjour à l’Hôtel Nendaz 4 Vallées, à Nendaz. En pleine montagne avec un spa de 2000 m2, vous imaginez? Une fois sur place, je rechigne à repartir.

Une femme que vous admirez?

J’ai une grande admiration pour une femme qui pourtant évolue dans l’ombre, Lisette Wuthier Meyer. À l’époque, elle s’était promise que si elle rencontrait l’abbé Pierre, elle

consacrerait trois années de sa vie à son œuvre. Depuis elle continue, inlassablement à soutenir les plus démunis.

La bonne fée de La Belle au bois dormant a dû se pencher sur le berceau de Kathrin Bradney. Elle est belle, intelligente, entreprenante. Les années semblent ne pas avoir prise sur elle. Pourtant sa vie n’a jamais été celle d’une princesse. C’est une vie de travail et de rigueur. On ne devient pas soliste du Béjart Ballet Lausanne, puis maîtresse de ballet, puis vidéaste et codirectrice d’une école de danse, et maintenant directrice associée du prestigieux Prix de Lausanne sans une incroyable discipline et une énergie débordante. On sent cette native du Verseau bien dans sa peau. Preuve que le ballet classique reste une école d’épanouissement personnel.  

Tags : Inspiration · Musique · Femme

Carol Rich. Une vie qui ressemble à un roman. C’est en 1987 que tout commence pour la jeune fribourgeoise. Carol remporte la sélection au concours de l’eurovision de la chanson en 1987. Les fées se sont penchées sur son berceau. Sa voix est un cadeau de la vie.

À Paris, elle lance sa carrière de chanteuse et enregistre avec la complicité d’Erick Bamy, choriste et musicien de Johnny Hallyday. Tout s’enchaîne mais aussi les moments difficiles. Carol est une battante. Rien ne peut l’abattre. Elle se relève aujourd’hui d’une intervention chirurgicale délicate qui aurait pu la laisser handicapée. Carol garde le sourire. Sur ses béquilles, elle court déjà dans sa tête…

ELLE. Carol Rich, quelle femme êtes-vous?

J’ai du caractère. Je croque la vie à pleines dents et avec un certain panache. Quand j’ai une conviction profonde, je ne change pas de trajectoire. Je suis tenace et je ne me laisse pas influencer. J’aime mon métier par-dessus tout. Je suis une femme épanouie.

En dehors de votre métier de chanteuse, qu’aimez-vous?

J’adore faire la cuisine et recevoir. Faire un repas pour vingt personnes ne me fait pas peur. Cuisiner me détend. Mes amis sont essentiels à mes valeurs de vie.

Quelle rencontre a changé votre trajectoire?

Deux hommes ont changé ma vie. Francis Lai et Roland Romanelli! Je l’ai rencontré après l’émission de l’Eurovision. Il m’a appris à ressentir la musique.

Quels sont les restaurants que vous aimez fréquenter?

Le Baron Tavernier à Chexbres est un de mes restaurants préférés. Sa vue plongeante sur le lac, à couper le souffle, m’émeut à chaque fois. J’aime aussi le Cheval Blanc à Bulle et les Trois Tours à Bourguillon. Les trois sont des restaurants gastronomiques. Leur cuisine est savoureuse et inventive.

Où vous habillez-vous?

À la Boutique Piccadilly, chez Chantal Gremaud à Bulle. Je n’ai pas beaucoup de goût pour me vêtir et surtout accorder les couleurs. Chantal sait me conseiller. Elle met de côté les habits qui pourraient me plaire et, la plupart du temps, tout me sied comme un gant.

Votre QG près de votre bureau?

Mon bureau se trouve dans les entrailles de ma maison, au rez inférieur. Ma véranda est mon QG. J’aime y retrouver mes collaborateurs. Cet espace en pleine nature est une source de vie et de bonheur au quotidien.

Un service à partager avec nos lectrices?

J’ai envie de partager un livre incroyable écrit par Bernard Quiquerez et paru aux Éditions Favre «La vie d’un guérisseur». Je suis croyante et ce livre m’a permis d’aborder mes différentes interventions chirurgicales avec sérénité à la Clinique Cecil à Lausanne. J’ai ressenti une force incroyable. Et sur ses conseils, je prends aussi tous les matins, à jeun, deux cuillères de Vibracell. Cela dope mon énergie!

Le week-end avec les enfants, vous faites quoi?

Notre moment phare est le brunch du dimanche. On fait un petit debriefing de la semaine. C’est l’occasion de discuter à bâtons rompus.

Une adresse de restaurant en amoureux?

Le restaurant La Cène à Fribourg. C’est romantique à souhait. Des petites niches nous permettent de dîner dans l’intimité sans que des bribes de conversation puissent s’échapper. L’ambiance y est feutrée, les lumières flatteuses et la cuisine délicieuse.

Où faites-vous vos courses?

Au risque de ne pas être originale, je fréquente beaucoup la Coop. Ils ont tellement de produits bio! J’ai un petit faible pour la Supercard. Ça me fascine de pourvoir payer mes achats grâce à ma fidélité! Sinon, j’achète certains légumes chez Rumo Primeurs à Bulle. Ils sont d’une grande fraîcheur et d’une qualité exceptionnelle.

Un hôtel où passer la nuit près de chez vous?

L’Hôtel Cailler à Charmey. Le cadre idéal pour se reposer et se ressourcer. À deux pas de chez moi mais dépaysement garanti.

Une adresse beauté?

L’institut Dorothy où règnent une ambiance zen et des senteurs relaxantes. Je fais un soin de beauté du visage, un massage et souvent un drainage. J’en ressors comme neuve! C’est le lieu par excellence dédié à la beauté et à la détente.

Où faites-vous du sport?

J’ai la chance d’avoir un fitness chez moi. Ainsi, je gagne un temps précieux. Je cours aussi au moins trois fois par semaine. Je prends l’air et ça me ressource.

Une adresse quand vous êtes épuisée?

Quand je suis épuisée rien de tel qu’un petit séjour à l’Hôtel Nendaz 4 Vallées, à Nendaz. En pleine montagne avec un spa de 2000 m2, vous imaginez? Une fois sur place, je rechigne à repartir.

Une femme que vous admirez?

J’ai une grande admiration pour une femme qui pourtant évolue dans l’ombre, Lisette Wuthier Meyer. À l’époque, elle s’était promise que si elle rencontrait l’abbé Pierre, elle

consacrerait trois années de sa vie à son œuvre. Depuis elle continue, inlassablement à soutenir les plus démunis.

La bonne fée de La Belle au bois dormant a dû se pencher sur le berceau de Kathrin Bradney. Elle est belle, intelligente, entreprenante. Les années semblent ne pas avoir prise sur elle. Pourtant sa vie n’a jamais été celle d’une princesse. C’est une vie de travail et de rigueur. On ne devient pas soliste du Béjart Ballet Lausanne, puis maîtresse de ballet, puis vidéaste et codirectrice d’une école de danse, et maintenant directrice associée du prestigieux Prix de Lausanne sans une incroyable discipline et une énergie débordante. On sent cette native du Verseau bien dans sa peau. Preuve que le ballet classique reste une école d’épanouissement personnel.  

Tags : Inspiration · Musique · Femme