RENCONTRE AVEC STÉPHANE

1 septembre 2022 · Modifié · Julie Vasa

Après une percée remarquée sur la scène française avec son premier single «Douleur je fuis», la Carougeoise Stéphane, tout juste âgée de 25 ans, s’impose désormais sur la scène suisse où on a pu l’applaudir tout l’été durant. À la veille de la sortie de son premier album, rencontre avec une artiste singulière, à la voix envoûtante accordée à son prénom. Une jeune femme franche, aussi intrigante que séduisante, au naturel désarmant entre rock et poésie! Une artiste à suivre de près!

ELLE SUISSE. Comment la musique est-elle entrée dans votre vie?

Stéphane. Je fais de la musique depuis toute petite, une passion née dans l’environnement familial. J’ai décidé d’en faire mon métier et ai suivi les cours d’une école de musique. À la sortie, j’ai rencontré mon producteur, Jan Frogg qui m’a fait signer avec un label en France.

ELLE SUISSE. Auteure, compositrice et interprète… par quoi commencez-vous lorsque vous créez?

S. Souvent l’idée de la chanson, son thème, me viennent et peuvent s’entremêler avec la mélodie. Je n’ai pas de recette exacte. «Douleur je fuis» est l’un de mes premiers titres. Je l’ai écrit avec un ami. Son succès nous a surpris! La rencontre avec mon producteur a été décisive. On peut démarrer avec peu de moyens mais, en termes de visibilité, c’est plus difficile.

ELLE SUISSE. Pourriez-vous envisager de chanter les textes écrits par d’autres ou écrire vous-même pour d’autres artistes?

S. Je suis ouverte à tout. C’est une autre sorte de création! J’ai eu la chance de faire les premières parties de Florent Pagny. J’espère pouvoir finir avec lui cette tournée qu’on a commencée. Même chose avec Vianney. C’était mon rêve de jouer avec lui! J’ai commencé à l’envers, par les plus grandes salles: une école formidable!

ELLE SUISSE. Qu’est-ce que ces artistes vous ont appris de plus important?

S. Ils m’ont donné des idées, des énergies à prendre. J’ai observé comment ils parvenaient à emmener le public avec eux. J’ai toujours aimé la scène. Plus j’avance et plus je m’interroge… Ma famille et mes amis sont à Genève où je suis peu. Je vis un rêve mais crains de rater des choses. L’entourage qu’on se choisit dans la musique peut nous permettre d’équilibrer un peu les choses. Il faut absolument s’entourer de gens avec qui on s’entend bien, qui peuvent parfois devenir des amis.

ELLE SUISSE. Qui sont vos proches côté musique?

S. Mon guitariste, Simon Strauss, m’apporte énormément. Il est le directeur musical et s’occupe de toute l’expression scénique. Et puis, bien sûr, mon équipe, mon label à Paris, et surtout mon producteur.

ELLE SUISSE. Comment vivez-vous votre succès et cette nouvelle reconnaissance?

S. Ça commence juste! J’ai la chance de tout aimer dans ce métier: la scène, les interviews, les moments en studio, les contacts avec les gens… Je souhaite leur donner autant que j’ai reçu lors de concerts.

ELLE SUISSE. Vous évoquez dans l’un de vos titres l’âge de 27 ans. Vous fait-il peur?

S. Ça ne me fait pas peur, car je n’ai pas la vie qu’avaient les musiciens et les chanteurs qui sont morts à l’âge de 27 ans et je suis très bien entourée. Leurs destins tellement tragiques m’ont intéressée.

ELLE SUISSE. Une question sur votre prénom. «Stéphane» est-il votre nom de scène?

S. C’est mon prénom. Mes parents me l’ont donné en hommage à l’actrice Stéphane Audran. Je l’aime beaucoup aussi.

ELLE SUISSE. Où en est votre premier album?

S. En pleine réalisation! Nous avons choisi 12 titres. Il sortira à l’automne 2022.

Après une percée remarquée sur la scène française avec son premier single «Douleur je fuis», la Carougeoise Stéphane, tout juste âgée de 25 ans, s’impose désormais sur la scène suisse où on a pu l’applaudir tout l’été durant. À la veille de la sortie de son premier album, rencontre avec une artiste singulière, à la voix envoûtante accordée à son prénom. Une jeune femme franche, aussi intrigante que séduisante, au naturel désarmant entre rock et poésie! Une artiste à suivre de près!

ELLE SUISSE. Comment la musique est-elle entrée dans votre vie?

Stéphane. Je fais de la musique depuis toute petite, une passion née dans l’environnement familial. J’ai décidé d’en faire mon métier et ai suivi les cours d’une école de musique. À la sortie, j’ai rencontré mon producteur, Jan Frogg qui m’a fait signer avec un label en France.

ELLE SUISSE. Auteure, compositrice et interprète… par quoi commencez-vous lorsque vous créez?

S. Souvent l’idée de la chanson, son thème, me viennent et peuvent s’entremêler avec la mélodie. Je n’ai pas de recette exacte. «Douleur je fuis» est l’un de mes premiers titres. Je l’ai écrit avec un ami. Son succès nous a surpris! La rencontre avec mon producteur a été décisive. On peut démarrer avec peu de moyens mais, en termes de visibilité, c’est plus difficile.

ELLE SUISSE. Pourriez-vous envisager de chanter les textes écrits par d’autres ou écrire vous-même pour d’autres artistes?

S. Je suis ouverte à tout. C’est une autre sorte de création! J’ai eu la chance de faire les premières parties de Florent Pagny. J’espère pouvoir finir avec lui cette tournée qu’on a commencée. Même chose avec Vianney. C’était mon rêve de jouer avec lui! J’ai commencé à l’envers, par les plus grandes salles: une école formidable!

ELLE SUISSE. Qu’est-ce que ces artistes vous ont appris de plus important?

S. Ils m’ont donné des idées, des énergies à prendre. J’ai observé comment ils parvenaient à emmener le public avec eux. J’ai toujours aimé la scène. Plus j’avance et plus je m’interroge… Ma famille et mes amis sont à Genève où je suis peu. Je vis un rêve mais crains de rater des choses. L’entourage qu’on se choisit dans la musique peut nous permettre d’équilibrer un peu les choses. Il faut absolument s’entourer de gens avec qui on s’entend bien, qui peuvent parfois devenir des amis.

ELLE SUISSE. Qui sont vos proches côté musique?

S. Mon guitariste, Simon Strauss, m’apporte énormément. Il est le directeur musical et s’occupe de toute l’expression scénique. Et puis, bien sûr, mon équipe, mon label à Paris, et surtout mon producteur.

ELLE SUISSE. Comment vivez-vous votre succès et cette nouvelle reconnaissance?

S. Ça commence juste! J’ai la chance de tout aimer dans ce métier: la scène, les interviews, les moments en studio, les contacts avec les gens… Je souhaite leur donner autant que j’ai reçu lors de concerts.

ELLE SUISSE. Vous évoquez dans l’un de vos titres l’âge de 27 ans. Vous fait-il peur?

S. Ça ne me fait pas peur, car je n’ai pas la vie qu’avaient les musiciens et les chanteurs qui sont morts à l’âge de 27 ans et je suis très bien entourée. Leurs destins tellement tragiques m’ont intéressée.

ELLE SUISSE. Une question sur votre prénom. «Stéphane» est-il votre nom de scène?

S. C’est mon prénom. Mes parents me l’ont donné en hommage à l’actrice Stéphane Audran. Je l’aime beaucoup aussi.

ELLE SUISSE. Où en est votre premier album?

S. En pleine réalisation! Nous avons choisi 12 titres. Il sortira à l’automne 2022.