Rencontre avec Mosimann

24 octobre 2023 · Modifié · Julie Vasa

La scène en ligne de mire et la passion partagée comme moteur, l’artiste franco-suisse recèle de talents multiples!

Chanteur gagnant de la Star Academy en 2008, Quentin Mosimann s’est révélé depuis excellent producteur, DJ, coach, compositeur… Largement autodidacte, il séduit tant par ses prestations personnelles que par ses créations au service d’autres artistes comme Grand Corps Malade pour lequel il a réalisé et composé l’album «Mesdames», disque de diamant.

ELLE. Vos activités musicales vous conduisent partout dans le monde. Quels liens entretenez-vous avec la Suisse?

MOSIMANN. Ils sont nombreux! J’y vis la moitié du temps, dans un village perdu au milieu des montagnes qui s’appelle le Rigi Kaltbad, à une demi-heure de Lucerne.

ELLE. Rêviez-vous, enfant, d’être le musicien que vous êtes devenu?

M. Je ne souhaitais pas devenir un artiste en particulier. En revanche, je savais que ma place n’était nulle part ailleurs que sur scène. Je baigne dans un environnement musical depuis ma tendre enfance. J’étais très solitaire et le petit clavier que mon père m’a offert à l’âge de quatre ans fut pour moi un exutoire.

ELLE. La Star Academy a été relancée cette année et vous en avez conçu l’hymne. Comment avez-vous vécu cette expérience?

M. Cette émission a étéune formidable aventure et a changé ma vie. J’y étais allé en espérant gagner pour aider financièrement ma mère mais je me suis vite pris au jeu. On a tendance à oublier que c’était réellement une école. Nous avions de vrais cours et j’y ai beaucoup appris. Elle m’a permis de réaliser mon premier album. Le challenge pour la production cette année était de concevoir une Star Ac moderne, dans l’air du temps. C’est réussi et je suis heureux d’y avoir participé.

ELLE. Vous collaborez avec de nombreux artistes. Quels sont les featuring qui vous ont le plus marqué récemment et d’autres qui vous tentent?

M. J’ai collaboré par exemple avec Patrick Bruel. Franchement, il est drôle, toujours dans le coup. Il arrive tout le temps à se réinventer, il est vraiment très fort. Quelqu’un comme Thomas Pesquet m’intéresserait beaucoup aussi. Je sais qu’il apprécie la musique. Il y a sans doute moyen de faire quelque chose de bien ensemble!

ELLE. Comment avez-vous été amené à travailler avec Grand Corps Malade?

M. Nous nous sommes rencontrés avant le confinement, par hasard. Ça a immédiatement fonctionné, de manière inexplicable, comme si nous nous étions connus dans une autre vie. J’ai adoré travaillé avec lui sur «Mesdames» puis «Ephémère», et faire des concerts ensemble.

ELLE. Des tournées, des albums pour vous et pour d’autres, des styles de musiques différents allant de l’électro à la variété… Comment menez-vous tout de front?

M. C’est parfois un peu compliqué mais je suis bien entouré. Et puis la passion nous emmène au bout du monde. Tout ce que je fais n’a qu’un but: me retrouver sur scène pour partager avec le public. Ma priorité est aujourd’hui le succès de cette tournée. Je ne veux pas dormir et sillonner le monde. Mais j’ai aussi compris à quel point j’aime réaliser des chansons pour les autres. Cela ne me demande que de l’amour. C’est une question d’équilibre.

Toutes les dates de concert de Mosimann: quentinmosimann.com

La scène en ligne de mire et la passion partagée comme moteur, l’artiste franco-suisse recèle de talents multiples!

Chanteur gagnant de la Star Academy en 2008, Quentin Mosimann s’est révélé depuis excellent producteur, DJ, coach, compositeur… Largement autodidacte, il séduit tant par ses prestations personnelles que par ses créations au service d’autres artistes comme Grand Corps Malade pour lequel il a réalisé et composé l’album «Mesdames», disque de diamant.

ELLE. Vos activités musicales vous conduisent partout dans le monde. Quels liens entretenez-vous avec la Suisse?

MOSIMANN. Ils sont nombreux! J’y vis la moitié du temps, dans un village perdu au milieu des montagnes qui s’appelle le Rigi Kaltbad, à une demi-heure de Lucerne.

ELLE. Rêviez-vous, enfant, d’être le musicien que vous êtes devenu?

M. Je ne souhaitais pas devenir un artiste en particulier. En revanche, je savais que ma place n’était nulle part ailleurs que sur scène. Je baigne dans un environnement musical depuis ma tendre enfance. J’étais très solitaire et le petit clavier que mon père m’a offert à l’âge de quatre ans fut pour moi un exutoire.

ELLE. La Star Academy a été relancée cette année et vous en avez conçu l’hymne. Comment avez-vous vécu cette expérience?

M. Cette émission a étéune formidable aventure et a changé ma vie. J’y étais allé en espérant gagner pour aider financièrement ma mère mais je me suis vite pris au jeu. On a tendance à oublier que c’était réellement une école. Nous avions de vrais cours et j’y ai beaucoup appris. Elle m’a permis de réaliser mon premier album. Le challenge pour la production cette année était de concevoir une Star Ac moderne, dans l’air du temps. C’est réussi et je suis heureux d’y avoir participé.

ELLE. Vous collaborez avec de nombreux artistes. Quels sont les featuring qui vous ont le plus marqué récemment et d’autres qui vous tentent?

M. J’ai collaboré par exemple avec Patrick Bruel. Franchement, il est drôle, toujours dans le coup. Il arrive tout le temps à se réinventer, il est vraiment très fort. Quelqu’un comme Thomas Pesquet m’intéresserait beaucoup aussi. Je sais qu’il apprécie la musique. Il y a sans doute moyen de faire quelque chose de bien ensemble!

ELLE. Comment avez-vous été amené à travailler avec Grand Corps Malade?

M. Nous nous sommes rencontrés avant le confinement, par hasard. Ça a immédiatement fonctionné, de manière inexplicable, comme si nous nous étions connus dans une autre vie. J’ai adoré travaillé avec lui sur «Mesdames» puis «Ephémère», et faire des concerts ensemble.

ELLE. Des tournées, des albums pour vous et pour d’autres, des styles de musiques différents allant de l’électro à la variété… Comment menez-vous tout de front?

M. C’est parfois un peu compliqué mais je suis bien entouré. Et puis la passion nous emmène au bout du monde. Tout ce que je fais n’a qu’un but: me retrouver sur scène pour partager avec le public. Ma priorité est aujourd’hui le succès de cette tournée. Je ne veux pas dormir et sillonner le monde. Mais j’ai aussi compris à quel point j’aime réaliser des chansons pour les autres. Cela ne me demande que de l’amour. C’est une question d’équilibre.

Toutes les dates de concert de Mosimann: quentinmosimann.com