Derrière la palme d’or du festival de Cannes 2024, la scintillante maison suisse Chopard

Le rideau vient à peine de tomber sur la 77 ème édition du Festival de Cannes et il laisse dans son sillage des souvenirs indélébiles de glamour et de prestige. Cette année encore, la cité balnéaire a fait vibrer le cœur des passionnés du 7e art. L’occasion de découvrir l’histoire de la plus célèbre des récompenses: la palme d’or.

Cette prestigieuse récompense décernée cette année à l’américain Sean Baker pour son film Anora (2024), n’a pas toujours été incarnée par cet objet. Si le Festival de Cannes a vu le jour en 1946, c’est le « Grand Prix du Festival International du Film » qui récompensait à l’époque le lauréat sous la forme d’un diplôme et d’une œuvre d’art. En 1954, les organisateurs du festival sollicitent plusieurs joailliers pour concevoir un trophée en forme de palme, en hommage aux palmiers emblématiques de la Croisette et aux armoiries de la ville de Cannes. La légende raconte que ce motif fait référence à Saint-Honorat, fondateur de l’Abbaye de Lérins, qui aurait grimpé sur un palmier pour que les eaux de mer puissent nettoyer l’île des serpents qui l’infestaient.

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La première palme d’or, dessinée par la joaillière française Lucienne Lazon fait ainsi son apparition en 1955. Entre 1964 et 1974, la palme est abandonnée au profit d’autres formes de récompenses avant de revenir en 1975 pour s’imposer définitivement comme l’emblème du Festival de Cannes. C’est en 1998, que Caroline Scheufele, coprésidente et directrice de la création de la Maison Chopard, repense le trophée, le modernise tout en respectant sa symbolique historique. Cette étape marquera le début d’une collaboration exclusive avec le Festival de Cannes.

La création de la Palme d’or nécessite au moins 70 heures de travail dans les ateliers de la Maison à Genève. Ce projet est confié à un même joaillier qui, tel un chef d’orchestre, assure la cohérence tout au long du processus de fabrication sur lequel interviennent six artisans d’art. Composée de 19 folioles en or 18 carat (or éthique depuis 2012), la palme repose sur un cristal de roche en forme de diamant taillé émeraude. Pour l’anecdote, chaque palme est unique et datée, une seconde, non datée, est toujours gardée en réserve en cas d’imprévu ou de récompense ex aequo. Elle est précieusement gardée dans un coffre jusqu’à l’annonce du palmarès et livrée au dernier moment.

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Chopard et le Festival de Cannes: un partenariat scintillant

Depuis 1998, la célèbre Maison illumine la montée des marches et le tapis rouge avec des créations uniques, portées par des icônes internationales comme Julia Roberts, Charlize Theron, Isabelle Huppert, Penelope Cruz et tant d’autres. Cette année, Caroline Scheufele a puisé son inspiration dans le monde fantastique des contes de fées, peuplé de souvenirs d’enfance et d’un amour infini pour la nature et les animaux. Un tableau enchanteur de 77 pièces, où chaque pièce raconte une histoire, comme ce collier inspiré d’un chêne majestueux, symbole de force et de puissance, ou cette bague ornée d’une tourmaline de 17,7 carats, soutenue par deux grenouilles facétieuses en titane et émeraudes. Pièce phare de cette galerie de rêves, une tiare surmontée d’une fée scintillante aux ailes de nacre, capture l’âme de cette collection. Entourée d’une pluie de d’étoiles et de diamants, elle peut se porter seule ou se métamorphoser en une broche gracieuse. Un émerveillement qui perdure bien au-delà de la Croisette.

Tags : Suisse · Festival · Luxe · film · designer · Haute joaillerie · Design

Le rideau vient à peine de tomber sur la 77 ème édition du Festival de Cannes et il laisse dans son sillage des souvenirs indélébiles de glamour et de prestige. Cette année encore, la cité balnéaire a fait vibrer le cœur des passionnés du 7e art. L’occasion de découvrir l’histoire de la plus célèbre des récompenses: la palme d’or.

Cette prestigieuse récompense décernée cette année à l’américain Sean Baker pour son film Anora (2024), n’a pas toujours été incarnée par cet objet. Si le Festival de Cannes a vu le jour en 1946, c’est le « Grand Prix du Festival International du Film » qui récompensait à l’époque le lauréat sous la forme d’un diplôme et d’une œuvre d’art. En 1954, les organisateurs du festival sollicitent plusieurs joailliers pour concevoir un trophée en forme de palme, en hommage aux palmiers emblématiques de la Croisette et aux armoiries de la ville de Cannes. La légende raconte que ce motif fait référence à Saint-Honorat, fondateur de l’Abbaye de Lérins, qui aurait grimpé sur un palmier pour que les eaux de mer puissent nettoyer l’île des serpents qui l’infestaient.

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La création de la Palme d’or nécessite au moins 70 heures de travail dans les ateliers de la Maison à Genève. Ce projet est confié à un même joaillier qui, tel un chef d’orchestre, assure la cohérence tout au long du processus de fabrication sur lequel interviennent six artisans d’art. Composée de 19 folioles en or 18 carat (or éthique depuis 2012), la palme repose sur un cristal de roche en forme de diamant taillé émeraude. Pour l’anecdote, chaque palme est unique et datée, une seconde, non datée, est toujours gardée en réserve en cas d’imprévu ou de récompense ex aequo. Elle est précieusement gardée dans un coffre jusqu’à l’annonce du palmarès et livrée au dernier moment.

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Depuis 1998, la célèbre Maison illumine la montée des marches et le tapis rouge avec des créations uniques, portées par des icônes internationales comme Julia Roberts, Charlize Theron, Isabelle Huppert, Penelope Cruz et tant d’autres. Cette année, Caroline Scheufele a puisé son inspiration dans le monde fantastique des contes de fées, peuplé de souvenirs d’enfance et d’un amour infini pour la nature et les animaux. Un tableau enchanteur de 77 pièces, où chaque pièce raconte une histoire, comme ce collier inspiré d’un chêne majestueux, symbole de force et de puissance, ou cette bague ornée d’une tourmaline de 17,7 carats, soutenue par deux grenouilles facétieuses en titane et émeraudes. Pièce phare de cette galerie de rêves, une tiare surmontée d’une fée scintillante aux ailes de nacre, capture l’âme de cette collection. Entourée d’une pluie de d’étoiles et de diamants, elle peut se porter seule ou se métamorphoser en une broche gracieuse. Un émerveillement qui perdure bien au-delà de la Croisette.

Tags : Suisse · Festival · Luxe · film · designer · Haute joaillerie · Design