Lundi, la chanteuse a parlé de sa décision prise il y a quatre ans.
Miley Cyrus est sobre depuis plusieurs années. Elle a arrêté de fumer du cannabis en 2017, puis de boire de l’alcool en 2020. Un choix de vie qui, selon ses propres mots, a « transformé toute [sa] vie », a confié la chanteuse de Something Beautiful (2025) à Zane Lowe sur le plateau d’Apple Music 1: « J’ai compris quelque chose de fondamental sur moi au fil du temps », a-t-elle alors commencé. « « La sobriété, c’est un peu comme mon Dieu. J’en ai besoin, je vis pour ça. Je veux dire par là que ça a changé toute ma vie. »
Miley Cyrus se remémore ensuite la visite de l’animateur d’Apple Music 1 dans sa « maison psychédélique peinte en noir à Hidden Hills, en Californie ». Elle raconte : « J’étais contente que tu sois venu me voir à ce moment-là », dit-elle. « Et aujourd’hui, en venant ici, j’y ai repensé. Parce qu’à l’époque, j’étais déjà proche de la personne que je suis maintenant. Mais la vie avait encore des choses à m’apprendre, des leçons à me donner ».
Rechute « nécessaire »
La chanteuse américaine évoque également cette parenthèse pendant le confinement de 2020, lorsqu’elle a brièvement recommencé à boire, avant d’arrêter définitivement: « »Je sais que j’avais besoin de rechuter une dernière fois. Et je devais le faire. Sinon, rien de tout ça ne se serait passé comme ça. Je ne serais pas tout simplement pas là, aujourd’hui, pour en parler. »
Elle reconnaît avoir dû traverser certaines périodes, avoir même créer des albums qu’elle ne considère pas comme ses meilleurs, pour finalement écrire Flowers (2023): « Cette chanson a été une sorte de clé. Elle a déverrouillé quelque chose. Elle m’a énormément aidée à guérir. »
Déjà en novembre 2020, dans un autre entretien avec Zane Lowe, Miley Cyrus expliquait que la sobriété était un choix profondément personnel. Consciente de ne pas être « une personne modérée », la femme de 32 ans avait compris qu’elle devait couper complètement avec l’alcool: « Je ne pense pas que tout le monde doive être sobre. Chacun doit trouver ce qui lui convient », déclarait-elle alors. « Je n’ai pas de problème avec l’alcool en soi. Mon problème, ce sont les décisions que je prends une fois que j’ai dépassé un certain seuil… Et j’ai juste envie de me réveiller à 100 %, tous les jours. »
Autrice: Alyssa Bailey
Cet article a été traduit et adapté pour la Suisse après avoir initialement été publié sur elle.com. Retrouvez tous les autres articles de cette édition sur le site web officiel.
