HOPE : quand la reconstruction devient possible
Fondée par Annabel Brourhant à la frontière franco-suisse, l’association HOPE accompagne les femmes après un cancer à travers l’équithérapie, la création et le lien humain. Une aventure solidaire qui redonne souffle et force intérieure.

Là où renaît la confiance
Au cœur des écuries du château de Neydens, Annabel Brourhant, ancienne journaliste et cavalière, a transformé son épreuve en mission de vie. Après un cancer, elle fonde HOPE pour accompagner d’autres femmes sur le chemin de la reconstruction. Ici, on respire à nouveau, on apprivoise ses émotions et on réapprend à se sentir vivante. L’équithérapie, l’art et les pratiques de bien-être deviennent autant de portes vers la sérénité retrouvée.
Une fondation suisse en devenir
Depuis deux ans, HOPE s’enracine aussi en Suisse avec une antenne ouverte au centre Anima à Bellevue. La fondation HOPE Suisse est en cours de constitution, soutenue par un conseil d’administration engagé. Les femmes en traitement y sont accueillies, parfois accompagnées de leurs enfants, pour participer à des ateliers d’équithérapie. L’objectif à terme : créer de nouveaux centres pour offrir cet accompagnement à toutes, au plus près de leur lieu de vie.

Une présence qui grandit
HOPE compte aujourd’hui huit antennes en France et une en Suisse, toutes animées par la même volonté : aider les femmes à retrouver équilibre et estime d’elles-mêmes. Les programmes associent équithérapie, art-thérapie et ateliers de bien-être. Plus qu’un simple accompagnement, c’est une parenthèse qui permet de se réconcilier avec soi et d’envisager l’avenir autrement.
La force des liens
Les femmes passées par HOPE se surnomment « les Hoptimistes ». Entre elles, les liens noués durant les séjours deviennent indestructibles. Elles se revoient, s’encouragent, se soutiennent. Certaines deviennent bénévoles, d’autres rejoignent la chorale ou la comédie musicale. HOPE, c’est avant tout une communauté de femmes qui s’élèvent ensemble, dans la solidarité et la bienveillance.
Des soutiens inspirants
En Suisse, le professeur Pierre-Yves Dietrich, chef du département d’oncologie des Hôpitaux universitaires de Genève, agit comme ambassadeur. Autour de lui, le Conseil d’administration réunit Bérénice Deletang, oncologue et présidente de l’association, Fanny Tondeur, trésorière, Natacha Firmenich, Marie-Ange Causse, Amandine Demole et Assma Ben Aïssa, oncologue. Ensemble, ils partagent la conviction que la guérison dépasse le médical : elle passe aussi par la reconstruction émotionnelle.
La culture au cœur du renouveau
La création fait partie intégrante du processus HOPE. La comédie musicale Elles étaient une fois, les Hoptimistes, mise en scène par Guila Braoudé, réunit trente femmes passées par l’association. L’exposition photo itinérante Cicatrices rend hommage aux corps transformés et à la force de la résilience, tandis que le podcast Hope Upon a Time recueille des récits intimes. Ces projets prolongent la mission de HOPE : faire entendre les voix de celles qui se relèvent et inspirer celles qui doutent encore.
Donner, c’est faire renaître l’espoir
Tous les séjours et ateliers HOPE sont intégralement financés par les dons, afin que chacune puisse bénéficier de cet accompagnement sans barrière financière. Chaque contribution permet d’accueillir de nouvelles femmes, de soutenir les antennes locales et de développer les projets culturels.
Soutenir HOPE, c’est offrir à une femme la possibilité de se reconstruire et de retrouver la lumière.



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