Deux parenthèses enchantées à découvrir cet automne
Deux adresses, deux émotions : la douceur égéenne d’Anda Barut et la chaleur ocre du Naoura, entre sérénité et beauté.
Le Naoura
Marrakech
Dès l’arrivée, la belle Hanane nous accueille avec un sourire lumineux et nous fait découvrir les lieux. Le charme opère aussitôt… un thé à la menthe servi avec grâce, la lumière du midi qui caresse les murs ocres, et ce sentiment immédiat d’être attendue. Le déjeuner au Wardya, entre fraîcheur des salades et parfums d’épices, donne le ton d’un week-end placé sous le signe de la douceur. En soirée, le Fouquet’s dévoile une parenthèse raffinée où la cuisine française s’accorde aux saveurs marocaines. Le lendemain, le spa invite à un voyage sensoriel, le soin signature, enveloppant et délicat, efface toute tension. Puis, un nouveau festin au Wardya, avant un dîner en suite, face à Marrakech qui s’endort. Le dernier matin, un petit-déjeuner servi en chambre ponctue le séjour en beauté. Le Naoura, c’est plus qu’un hôtel, c’est une parenthèse de grâce où chaque instant semble murmuré à l’oreille.
hotelsbarriere.com

Anda Barut Collection
Didim
À l’Anda Barut Collection, tout semble pensé pour ralentir le temps. Dès l’arrivée, un calme enveloppant, la mer à perte de vue, et ce sentiment rare d’être exactement là où il faut. Dans les villas Bayou, l’intimité est totale: piscine privée chauffée, terrasse baignée de soleil, et ce silence, seulement troublé par le clapotis de l’eau. Le service est d’une délicatesse absolue, un majordome discret, un buggy qui conduit jusqu’au restaurant, un personnel attentif sans jamais être présent à l’excès. Les repas se dégustent comme des moments suspendus: poisson frais, huile d’olive dorée, herbes sauvages et vins légers. Le soir, la lumière tombe doucement sur la péninsule, dorant les pierres antiques d’Apollon. Anda Barut, c’est bien plus qu’un hôtel, c’est un refuge méditerranéen, où l’on vit pieds nus, apaisé, reconnecté à soi et à la beauté simple du monde. On y va pour quelques jours… et l’on rêve d’y rester.
barutanda.com
