Marie-Olga Charriol

7 novembre 2019 · Modifié · Nathalie Brignoli

Marie-Olga Charriol s’occupe d’une marque de joaillerie très glamour et incarne l’élégance. Rencontre avec une femme sentimentale et séduisante, aux multiples facettes.

Ambassadrice et directrice des relations publiques du groupe Charriol, Marie-Olga Charriol s’est toujours intéressée à l’horlogerie et à la mode. Ancien mannequin et actrice, licenciée en lettres, passionnée de cinéma, elle incarne aujourd’hui l’esprit glamour de la marque. Sportive et féminine, elle se définit comme une femme amoureuse des arts, qui lit depuis toujours et une passionnée dans tous les domaines. Elle a vécu dans plusieurs pays, mais c’est au bord du lac, à Genève, qu’elle a trouvé son équilibre. Marie-Olga Charriol est également une mère très impliquée au quotidien, qui se bat pour surmonter une épreuve douloureuse, après la perte de son mari, fondateur de la marque.

ELLE SUISSE: Marie-Olga Charriol, quelle femme êtes-vous?

Une femme unique, je n’ai jamais voulu ressembler à personne. J’ai toujours voulu rester authentique, même dans des circonstances où ce n’était pas facile. J’adore voyager dans mon imaginaire, et depuis mon enfance je lis tous les jours. Je suis à l’écoute et le plus possible dans le «ici et maintenant», c’est vital pour moi en ce moment très particulier de reconstruction de ma vie.

En dehors de votre métier et de la joaillerie, quelles sont vos passions?

La lecture, les auteurs, le théâtre, le cinéma, la peinture…

J’ai également une conscience très vive des enjeux liés à notre planète Terre, je me sens très concernée par l’écologie.

Parlez-nous de vos qualités premières

Je suis fidèle en amitié et en amour, je suis franche et j’ai le sens de l’hospitalité.

J’écoute le plus possible mon intuition. C’est mon cœur qui me guide.

Et vos défauts?

Je suis impatiente et peut-être un peu trop perfectionniste parfois, et je n’ai pas toujours assez confiance en moi.

Quelle rencontre a changé votre trajectoire?

Il y en a eu plusieurs, les pères de mes deux enfants, les personnes que j’ai aimées et qui m’ont aimée. Par amour, j’ai changé à deux reprises de pays… Je rêvais d’Italie, j’y ai vécu; j’ai adopté la Suisse dès que j’ai rencontré mon mari, Philippe Charriol, avec qui j’ai travaillé, ici à Genève; depuis sa disparition je porte en héritage les valeurs de sa marque.

Comment surmontez-vous une déception affective?

En me raccrochant à tous les détails du quotidien. Je suis une sentimentale et je suis autant marquée par une déception amicale qu’amoureuse. D’ailleurs, la première déception que j’ai dû surmonter a été la trahison d’une de mes amies d’enfance. Je surmonte en ce moment le deuil très violent de mon mari. C’est vraiment en étant dans le présent et en faisant en conscience tous les gestes du quotidien, aussi bien quand je cuisine que quand je suis avec ma fille, ou quand je réponds à vos questions, que je peux continuer à vivre.

Quels sont les restaurants que vous aimez fréquenter?

J’aime les végétariens, notamment ceux qui participent à la Veggie Week, comme le Eastwest (rue des Pâquis 6, Genève) qui propose également de délicieux poissons; je me régale avec les tempura de légumes du japonais Nagomi (rue de Zurich 47, Genève), ou avec les délicieuses spécialités italiennes de Duchessa (rue Jean-François-Bartholoni 10, Genève).

Où vous habillez-vous?

J’aime le choix en multimarques de la boutique Klima (rue des Chaudronniers 4, Genève), les robes féminines et élégantes de Tara Jarmon (rue de la Tour-Maîtresse 4, Genève), et je trouve de superbes chaussures et bottes chez Bally (rue du Rhône 47, Genève).

allez-vous pour décompresser?

Je suis une Méditerranéenne et le décor qui me ressource le plus, c’est la mer. J’aime Genève parce qu’il y a le lac, j’adore aller marcher autour du Léman. Je me ressource chez L.RAPHAEL (rue du Rhône 15, Genève), j’aime ses soins et traitements uniques et efficaces. C’est un lieu où je peux tout faire, me détendre, au niveau du corps et de l’esprit, et me faire coiffer.

Un  hôtel où passer la nuit près de chez vous?

À la Réserve, Hotel, Spa & Villa, (rte de Lausanne 301, Bellevue-Genève), pour l’ambiance et le parfum sensuel qui y est diffusé et aussi pour sa piscine ou au Fer à Cheval (rte du Crêt 36, Megève), un hôtel cosy et familial.

Une femme que vous admirez?

Je suis très sensible aux femmes qui écrivent, sur le thème de l’amour, avec une écriture audacieuse, de Françoise Sagan à Marguerite Duras, sur qui j’ai écrit mon mémoire en maîtrise de lettres modernes… elles ont osé s’affranchir et assumer leur liberté!

Marie-Olga Charriol s’occupe d’une marque de joaillerie très glamour et incarne l’élégance. Rencontre avec une femme sentimentale et séduisante, aux multiples facettes.

Ambassadrice et directrice des relations publiques du groupe Charriol, Marie-Olga Charriol s’est toujours intéressée à l’horlogerie et à la mode. Ancien mannequin et actrice, licenciée en lettres, passionnée de cinéma, elle incarne aujourd’hui l’esprit glamour de la marque. Sportive et féminine, elle se définit comme une femme amoureuse des arts, qui lit depuis toujours et une passionnée dans tous les domaines. Elle a vécu dans plusieurs pays, mais c’est au bord du lac, à Genève, qu’elle a trouvé son équilibre. Marie-Olga Charriol est également une mère très impliquée au quotidien, qui se bat pour surmonter une épreuve douloureuse, après la perte de son mari, fondateur de la marque.

ELLE SUISSE: Marie-Olga Charriol, quelle femme êtes-vous?

Une femme unique, je n’ai jamais voulu ressembler à personne. J’ai toujours voulu rester authentique, même dans des circonstances où ce n’était pas facile. J’adore voyager dans mon imaginaire, et depuis mon enfance je lis tous les jours. Je suis à l’écoute et le plus possible dans le «ici et maintenant», c’est vital pour moi en ce moment très particulier de reconstruction de ma vie.

En dehors de votre métier et de la joaillerie, quelles sont vos passions?

La lecture, les auteurs, le théâtre, le cinéma, la peinture…

J’ai également une conscience très vive des enjeux liés à notre planète Terre, je me sens très concernée par l’écologie.

Parlez-nous de vos qualités premières

Je suis fidèle en amitié et en amour, je suis franche et j’ai le sens de l’hospitalité.

J’écoute le plus possible mon intuition. C’est mon cœur qui me guide.

Et vos défauts?

Je suis impatiente et peut-être un peu trop perfectionniste parfois, et je n’ai pas toujours assez confiance en moi.

Quelle rencontre a changé votre trajectoire?

Il y en a eu plusieurs, les pères de mes deux enfants, les personnes que j’ai aimées et qui m’ont aimée. Par amour, j’ai changé à deux reprises de pays… Je rêvais d’Italie, j’y ai vécu; j’ai adopté la Suisse dès que j’ai rencontré mon mari, Philippe Charriol, avec qui j’ai travaillé, ici à Genève; depuis sa disparition je porte en héritage les valeurs de sa marque.

Comment surmontez-vous une déception affective?

En me raccrochant à tous les détails du quotidien. Je suis une sentimentale et je suis autant marquée par une déception amicale qu’amoureuse. D’ailleurs, la première déception que j’ai dû surmonter a été la trahison d’une de mes amies d’enfance. Je surmonte en ce moment le deuil très violent de mon mari. C’est vraiment en étant dans le présent et en faisant en conscience tous les gestes du quotidien, aussi bien quand je cuisine que quand je suis avec ma fille, ou quand je réponds à vos questions, que je peux continuer à vivre.

Quels sont les restaurants que vous aimez fréquenter?

J’aime les végétariens, notamment ceux qui participent à la Veggie Week, comme le Eastwest (rue des Pâquis 6, Genève) qui propose également de délicieux poissons; je me régale avec les tempura de légumes du japonais Nagomi (rue de Zurich 47, Genève), ou avec les délicieuses spécialités italiennes de Duchessa (rue Jean-François-Bartholoni 10, Genève).

Où vous habillez-vous?

J’aime le choix en multimarques de la boutique Klima (rue des Chaudronniers 4, Genève), les robes féminines et élégantes de Tara Jarmon (rue de la Tour-Maîtresse 4, Genève), et je trouve de superbes chaussures et bottes chez Bally (rue du Rhône 47, Genève).

allez-vous pour décompresser?

Je suis une Méditerranéenne et le décor qui me ressource le plus, c’est la mer. J’aime Genève parce qu’il y a le lac, j’adore aller marcher autour du Léman. Je me ressource chez L.RAPHAEL (rue du Rhône 15, Genève), j’aime ses soins et traitements uniques et efficaces. C’est un lieu où je peux tout faire, me détendre, au niveau du corps et de l’esprit, et me faire coiffer.

Un  hôtel où passer la nuit près de chez vous?

À la Réserve, Hotel, Spa & Villa, (rte de Lausanne 301, Bellevue-Genève), pour l’ambiance et le parfum sensuel qui y est diffusé et aussi pour sa piscine ou au Fer à Cheval (rte du Crêt 36, Megève), un hôtel cosy et familial.

Une femme que vous admirez?

Je suis très sensible aux femmes qui écrivent, sur le thème de l’amour, avec une écriture audacieuse, de Françoise Sagan à Marguerite Duras, sur qui j’ai écrit mon mémoire en maîtrise de lettres modernes… elles ont osé s’affranchir et assumer leur liberté!