SINDY MONNIER

15 novembre 2019 · Modifié · Nathalie Brignoli

Médecin FHM en gynécologie et obstétrique depuis 2006, spécialisée en chirurgie du sein, le docteur Sindy Monnier est aussi directrice du Centre du sein de Genève, à la Clinique des Grangettes.

La vocation de la médecine lui est venue à l’âge de 16 ans. Sindy Monnier est devenue médecin en 2001, puis diplômée de sénologie de la Société Suisse de Gynécologie et de la Société Suisse de Sénologie. Elle s’est formée aux États-Unis (Breast Fellowship, UCSF Carol Franc Buck Breast Care Center, University California of San Francisco, professeur Laura Esserman) et à Paris (Formation en chirurgie oncoplastique du sein, Institut Curie, Paris, France, docteur Reyal). Son rôle? Accompagner des patientes avec un cancer du sein dans leur parcours, avec empathie et beaucoup d’écoute. Un domaine où la formation est permanente, avec des découvertes perpétuelles, permettant des traitements toujours plus personnalisés.


Sindy Monnier, quelle femme êtes-vous?

Je suis déterminée, j’ai le goût des défis et j’aime concrétiser mes projets comme la création du centre du sein de Genève. Je suis aussi maman d’une petite fille de deux ans et demi. Grâce à mon conjoint, très présent dans son éducation, je pense avoir réussi à établir un équilibre entre ma vie privée et professionnelle.

Quelques mots sur votre parcours de médecin…

Il n’y a pas de médecin dans ma famille. Au départ, je m’orientais plutôt vers le métier d’ingénieur en aéronautique. J’ai changé d’avis à 16 ans, en perdant un être cher; j’ai alors voulu mieux comprendre tout ce qui touchait à la maladie. Ce qui me tient à cœur, c’est le contact humain avec mes patientes.

 Parlez-nous de vos qualités premières…

Je suis pugnace, j’ai de l’énergie et je suis organisée.

Et vos défauts?

Je suis très exigeante, envers moi-même et envers les autres, je peux aussi me montrer impatiente dans mon travail, même si je reste toujours à l’écoute.

Quelle rencontre a changé votre trajectoire?

Mon conjoint Philippe, qui m’a apporté un équilibre essentiel, dans ma vie de famille et de couple, tout en respectant ma liberté. Sur le plan professionnel, je pense à un médecin spécialisé dans le sein, qui m’a transmis sa passion pour la sénologie, et m’a fait choisir ce chemin.

Vos passions en dehors de votre métier?

J’aime la lecture, la course à pied, la gastronomie et les vins.

Quels sont vos restaurants préférés?

J’ai fait une belle découverte, c’est le restaurant Là-Haut (21, rue du Village, Chardonne), dans le village vigneron de Chardonne. La cuisine du jeune chef y est créative et raffinée. J’aime aussi beaucoup la cuisine japonaise (j’ai voyagé au Japon): je vais notamment chez Kakinuma (3, rue Henri-Blanvalet, Genève), pour la finesse de ses plats. Pour des sorties en famille, on va à La Chaumière (16, ch. de la Fondelle, Troinex) pour l’ambiance, et le cadre convivial.

Où vous habillez-vous ?

Je vais chez Globus (48, rue du Rhône, Genève) car j’y trouve de nombreuses marques. J’aime aussi beaucoup les vestes et pulls de la marque italienne Falconeri (28, Spitalgasse, Berne). Portant tous types de chaussures, j’achète mes baskets chez Pompes Funèbres (19, rue de la Corraterie, Genève) et les modèles plus haut de gamme chez Bongénie Grieder (34, rue du Marché, Genève) car le choix y est très grand; sinon, j’ai une vraie passion pour les sacs, de petits créateurs ou haute couture. Actuellement, je porte au quotidien un sac shopping de Fendi, très pratique car ma fille peut y mettre ses nombreuses petites affaires (62, rue du Rhône, Genève).

Vos bonnes adresses beauté?

Je ne suis pas fidèle aux coiffeurs. En revanche, j’aime beaucoup les soins du visage de Clarins Boutique & Spa (23, rue de la Terrassière, Genève), et les soins pour le corps de Balima Day Spa (12, rue du Vieux-Collège, Genève), ses massages sont fantastiques!

Où faites-vous vos courses ?

J’aime aller au marché de Carouge (8, place du Marché, Carouge-Genève) le samedi matin, pour les légumes et les produits frais; sinon, je commande le vin sur Arvi (arvi.ch) ou bien je vais l’acheter à Cavesa.ch (5, cour des Bastions, Genève) ou à Gland.

Une femme que vous admirez?

Le professeur Laura Esserman. C’est une chirurgienne, travaillant à l’Université de San Francisco, et chercheuse connue dans le monde entier. Je l’ai rencontrée en 2010, peu avant mon Breast Fellowship, c’est grâce à elle que j’ai pu compléter ma formation en pathologie du sein. En 2016, elle a été élue par le «Time Magazine» parmi les 100 personnalités les plus influentes du monde. C’est une femme humaine, intelligente, visionnaire, et totalement impliquée dans la recherche.

Médecin FHM en gynécologie et obstétrique depuis 2006, spécialisée en chirurgie du sein, le docteur Sindy Monnier est aussi directrice du Centre du sein de Genève, à la Clinique des Grangettes.

La vocation de la médecine lui est venue à l’âge de 16 ans. Sindy Monnier est devenue médecin en 2001, puis diplômée de sénologie de la Société Suisse de Gynécologie et de la Société Suisse de Sénologie. Elle s’est formée aux États-Unis (Breast Fellowship, UCSF Carol Franc Buck Breast Care Center, University California of San Francisco, professeur Laura Esserman) et à Paris (Formation en chirurgie oncoplastique du sein, Institut Curie, Paris, France, docteur Reyal). Son rôle? Accompagner des patientes avec un cancer du sein dans leur parcours, avec empathie et beaucoup d’écoute. Un domaine où la formation est permanente, avec des découvertes perpétuelles, permettant des traitements toujours plus personnalisés.


Sindy Monnier, quelle femme êtes-vous?

Je suis déterminée, j’ai le goût des défis et j’aime concrétiser mes projets comme la création du centre du sein de Genève. Je suis aussi maman d’une petite fille de deux ans et demi. Grâce à mon conjoint, très présent dans son éducation, je pense avoir réussi à établir un équilibre entre ma vie privée et professionnelle.

Quelques mots sur votre parcours de médecin…

Il n’y a pas de médecin dans ma famille. Au départ, je m’orientais plutôt vers le métier d’ingénieur en aéronautique. J’ai changé d’avis à 16 ans, en perdant un être cher; j’ai alors voulu mieux comprendre tout ce qui touchait à la maladie. Ce qui me tient à cœur, c’est le contact humain avec mes patientes.

 Parlez-nous de vos qualités premières…

Je suis pugnace, j’ai de l’énergie et je suis organisée.

Et vos défauts?

Je suis très exigeante, envers moi-même et envers les autres, je peux aussi me montrer impatiente dans mon travail, même si je reste toujours à l’écoute.

Quelle rencontre a changé votre trajectoire?

Mon conjoint Philippe, qui m’a apporté un équilibre essentiel, dans ma vie de famille et de couple, tout en respectant ma liberté. Sur le plan professionnel, je pense à un médecin spécialisé dans le sein, qui m’a transmis sa passion pour la sénologie, et m’a fait choisir ce chemin.

Vos passions en dehors de votre métier?

J’aime la lecture, la course à pied, la gastronomie et les vins.

Quels sont vos restaurants préférés?

J’ai fait une belle découverte, c’est le restaurant Là-Haut (21, rue du Village, Chardonne), dans le village vigneron de Chardonne. La cuisine du jeune chef y est créative et raffinée. J’aime aussi beaucoup la cuisine japonaise (j’ai voyagé au Japon): je vais notamment chez Kakinuma (3, rue Henri-Blanvalet, Genève), pour la finesse de ses plats. Pour des sorties en famille, on va à La Chaumière (16, ch. de la Fondelle, Troinex) pour l’ambiance, et le cadre convivial.

Où vous habillez-vous ?

Je vais chez Globus (48, rue du Rhône, Genève) car j’y trouve de nombreuses marques. J’aime aussi beaucoup les vestes et pulls de la marque italienne Falconeri (28, Spitalgasse, Berne). Portant tous types de chaussures, j’achète mes baskets chez Pompes Funèbres (19, rue de la Corraterie, Genève) et les modèles plus haut de gamme chez Bongénie Grieder (34, rue du Marché, Genève) car le choix y est très grand; sinon, j’ai une vraie passion pour les sacs, de petits créateurs ou haute couture. Actuellement, je porte au quotidien un sac shopping de Fendi, très pratique car ma fille peut y mettre ses nombreuses petites affaires (62, rue du Rhône, Genève).

Vos bonnes adresses beauté?

Je ne suis pas fidèle aux coiffeurs. En revanche, j’aime beaucoup les soins du visage de Clarins Boutique & Spa (23, rue de la Terrassière, Genève), et les soins pour le corps de Balima Day Spa (12, rue du Vieux-Collège, Genève), ses massages sont fantastiques!

Où faites-vous vos courses ?

J’aime aller au marché de Carouge (8, place du Marché, Carouge-Genève) le samedi matin, pour les légumes et les produits frais; sinon, je commande le vin sur Arvi (arvi.ch) ou bien je vais l’acheter à Cavesa.ch (5, cour des Bastions, Genève) ou à Gland.

Une femme que vous admirez?

Le professeur Laura Esserman. C’est une chirurgienne, travaillant à l’Université de San Francisco, et chercheuse connue dans le monde entier. Je l’ai rencontrée en 2010, peu avant mon Breast Fellowship, c’est grâce à elle que j’ai pu compléter ma formation en pathologie du sein. En 2016, elle a été élue par le «Time Magazine» parmi les 100 personnalités les plus influentes du monde. C’est une femme humaine, intelligente, visionnaire, et totalement impliquée dans la recherche.